1. AU BORD DU LAC 2/8


    Datte: 01/05/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... filles quand Ingrid me demanda si nous avions déjà pris un bain de minuit. Elle en avait entendu parler, mais avait envie de tenter l’expérience. « tu sais que le bain de minuit se prend nus » l’informai-je **(je traduis en français à partir de là) « je sais » me dit elle « c’est ce qui est excitant. » A minuit, nous nous rendimes , vétus de nos seuls sous-vêtements, enroulés dans des serviettes de bain, à la marina, à l’opposé du camping, où nous pensions que nos plongeons et autres ébats aquatiques, passeraient inaperçus.. Nos pas résonnèrent bientôt sur le ponton de bois, flottant en T, faisant clapoter l’eau sous nos pieds. Arrivés au bout, nous hésitâmes un instant , scrutant l’eau sombre, ou se reflétait la lune. Puis les filles, les premières, laissèrent choir leurs serviettes, et se débarassèrent prestement de leurs culottes avant de plonger. Nous les suivimes, et après le premier choc, nous nous mîmes à nager avec vigueur, pour dissiper le froid qui nous envahissait. Après avoir joué à nous éclabousser, on regagna le ponton pour s’y cramponner. L’eau était carrément froide, et les filles grelotaient. Ingrid vint se coller contre moi. « Regarde mes seins, comme ils sont durs » me dit elle en plaquant ma main sur l’un deux. Effectivement, il était très dur, avec la chair de poule, et un téton gros comme un crayon, que je pinçai, taquin. Elle s’échappa, et plongea sous l’eau, son fessier blanc éclairé par la lune, me narguant avant de disparaître dans l’onde. Au loin, ...
    ... sur la berge, je repérais le faisceau d’une torche, qui se déplaçait vers nous. Je rameutais mes compagnons et nous grimpâmes sur le ponton, nous enroulant dans nos serviettes, avant de nous enfuir, la culotte à la main , tandis qu’un gardien sans même nous poursuivre criait : « eh vous là-bas ! c’est interdit de se baigner là. » La tente fut vite réintégrée, et nous fûmes contents de nous blottir sous les épais duvets qui dispensaient une chaleur rassurante. Les filles se collaient contre nous. « C’est bien joli, le bain de minuit, amis j’ai les roustons, comme des noisettes » dit Eric tout bas. » Terry interrogea Ingrid, qui demanda « un soucis ? » « Oui, enfin non, c’est juste mécanique. Je ne peux pas t’expliquer. » « Oh, j’ai compris » sourit elle « tu as compris ? » « l’eau était très froide, et vous avez besoin d’être réchauffés » ses mains s’étaient emparées de ma virilité, qui je dois bien l’avouer ,était considérablement réduite. Les jeunes femmes descendirent sous la couette, pour nous réchauffer, à la chaleur de leur bouche, de leurs mains, par des caresses qui firent bientôt remonter notre température corporelle. Et je sentis mon sexe reprendre vie dans ce chaud étui, , mes bourses, se décontractant du même coup. Estimant que j’avais retrouvé une forme suffisante, Ingrid, vint m’embrasser, tout en m’enjambant avant de se laisser tomber sur ce pieu turgescent , donnant le signal d’une cavalcade qui ne s’arrêta qu’avec notre jouissance combinée. Je pris Ingrid dans ...
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