1. Massage


    Datte: 01/05/2019, Catégories: ff, init,

    ... elle ne redescend plus jusqu’aux chevilles. Ses doigts effleurent ma peau juste derrière les genoux, puis passent entre mes cuisses et remontent tout doucement. La caresse est érotique, délicieuse. Je mords ma lèvre inférieure en ressentant que de nouveau elle écarte mes fesses en venant sur mes hanches. L’impression qu’elle va de plus en plus lentement. Je serre les poings. Je ne dois pas gémir. Elle me tient un moment par les hanches, me soulève très légèrement. Je voudrais hurler. Ce geste est une invitation. Je me cambre très légèrement. J’ai honte. Je ne peux retenir une très légère plainte. C’est fini ; elle revient vers les cuisses jusqu’aux genoux. Et de nouveau remonte ; ce n’est pas délicieux, mais tout simplement diabolique. J’ouvre la bouche pour un cri silencieux. Elle vient, le temps d’une petite seconde, de frôler, de passer ses doigts entre mes fesses. La caresse est si rapide, si fugace, mais si forte en intensité… Comment ne pas laisser échapper de petits gémissements ? C’est un véritable supplice, un supplice de Tantale. De nouveau, ses doigts, ses ongles remontent entre mes cuisses. — Hum… Hum… Non. Je n’ai pu me retenir de gémir. Mais j’aurais eu envie de hurler. Les soupirs de Jane se mêlent aux miens. La tension retombe un tout petit peu pour un très court instant alors que ses mains se croisent et se recroisent rapidement sur mon dos. Puis une de ses mains part du haut du dos et descend sur la colonne vertébrale. Elle appuie doucement et descend, ...
    ... descend toujours, passe entre mes fesses jusqu’à toucher mon sexe sous moi. Je vais crier comme Jane, avec elle. Elle reste sans bouger une ou deux secondes. Je me tends. Je n’en peux plus. Sa main remonte maintenant doucement. Elle recommence deux ou trois fois ce geste avant d’aller plus loin encore. Ses doigts, son doigt… Je soulève la tête, ouvre les yeux. Elle l’a fait ; pas longtemps, pas beaucoup, pas profond, mais elle a osé ce que j’espérée depuis un moment. Je retombe sur la table. — Andrea… Retournez-vous, s’il vous plaît. Je suis gênée. Je suis extrêmement excitée. Frustrée un peu, je ne sais pas. Je crois que j’aurais aimé qu’elle continue, qu’elle aille encore plus loin. Je n’ose pas de suite croiser son regard en me retournant. Je me mets sur le dos, les bras le long du corps. Je la regarde prendre derrière elle le bol évasé contenant l’huile. Je remarque que la fermeture Éclair de sa blouse est descendue bien en dessous de ses seins. Je me sens honteuse un peu. D’autant plus qu’elle a surpris mon regard sur sa poitrine enveloppée d’un très beau soutien-gorge noir en dentelle et voile transparents. Elle me sourit. Je voudrais disparaître. Sa main imprégnée d’huile parfumée court sur mes cuisses, mes jambes et mon ventre. Je n’ose pas bouger. Je regarde son visage. Sa main replonge dans l’huile et passe sur ma poitrine, entre les seins. Nos regards se croisent. Je me sens rougir. Elle me sourit. — Cela va jusqu’ici ?— Oui.— Détendez-vous, Andrea ; laissez-vous allez. ...
«12...789...14»