Rosie prend le train
Datte: 01/05/2019,
Catégories:
f,
train,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
nopéné,
fdanus,
exercice,
humour,
Bonjour, je m’appelle Rosie, j’ai vingt-cinq ans. Vingt-cinq ans, c’est vraiment le bel âge. Nous sommes en pleine forme, les hommes détournent le regard à chaque fois que nous sommes un tantinet sexy, on s’amuse entre copines, tout va bien ! Je suis fille unique, alors les copines, c’est sacré ! Bon, vous voudriez peut-être savoir comment je suis ? Eh bien, je mesure 1,70 m, les cheveux châtain, très, très longs, de grands beaux yeux verts et… avec des formes là où il faut ! Et quand je dis là où il faut, je ne veux pas dire seulement là ou là, non, ma silhouette est gracieuse, pas grosse, juste… pulpeuse. Et les hommes aiment ça, je vous le promets ! D’accord, je lâche mon bonnet : 95 C, cela vous convient ? En tout cas, Yann, Arnaud, Thierry, David, Aurélie (si, si) les ont bien aimés… mes formes ! Mes hanches sont larges mais fines, juste un peu de chair pour dessiner une courbe qu’il est agréable de suivre jusqu’à un petit nid douillet, mais chut, il n’est pas encore 22 h 30, les enfants ne sont pas couchés ! On parle de mon ventre ? Ah… mon ventre, d’accord il n’est pas plat comme la blonde à la télé qui vante les mérites de cette crème qui raplaplatise la silhouette, mais il pointe juste son nombril pour qu’on ne me confonde pas avec une planche à repasser, on ne sait jamais… Et il est si doux… Enfin, mes jambes. Bon, ce sont des jambes, ni fines, ni grosses, ce n’est pas l’élément de mon anatomie que je préfère, mais elles sont fermes, les hommes les regardent ...
... parfois et surtout, elles me font avancer… Tiens, à propos de mes jambes, même si ce n’est pas la première chose que l’on remarque chez moi, et bien il y a quelques jours, dans le train, ce sont elles qui ont joué les séductrices ! Bon, j’avais mis ce jour-là une petite jupe légère, celles qui se soulèvent pour un rien. J’étais tranquillement assise sur une banquette quatre places en vis-à-vis dans un vieux Corail, et je lisais un petit roman des plus légers. On s’arrête à une gare et le train-train (c’est le cas de le dire) des voyageurs qui montent et descendent se fait. Je ne remarque pas dans un premier temps qu’un jeune homme s’est assis de l’autre côté du couloir, juste derrière les quatre autres fauteuils attenants. Comme mes pieds sont un peu gonflés par la chaleur (on est quand même le 28 août, et puis quand la SNCF va-t-elle résoudre le problème du chauffage qui fonctionne en été et qui est en panne en hiver ?), je retire mes escarpins et pose mes pieds sur la banquette qui me fait face. Je continue ma lecture des plus palpitantes. Le suspens du roman est tellement prenant que de temps à autre je regarde à droite, à gauche, et là, tiens, mon jeune homme s’est affalé sur sa banquette. Quelle drôle de position me dis-je… Je regarde machinalement mes pieds et je m’aperçois que ma jupe remonte franchement sur mes cuisses, alors je ne vous dis pas le dessous… Voilà ce que cherche notre homme ! Je le regarde du coin de l’œil en faisant semblant de lire consciencieusement et ...