Le chemisier rose de Charlotte
Datte: 01/05/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
neuneu,
Masturbation
Oral
pénétratio,
inithf,
... L’eau froide me choque puis me fait une agréable sensation de fraîcheur. Elle m’enveloppe toute la queue avec la serviette, la tourne trois fois, puis essuie mes bourses, et l’alentour de mon appareil. Enfin elle rapproche la serviette de son nez et la renifle longuement. Elle jette les yeux au plafond. — Quelle odeur ! Quelle fraîcheur, Zozou ! C’est une semence bénite, c’est une eau du paradis. Euuh, Charlotte, combien d’années que tu n’as pas reniflé de sperme ? combien d’années que tu n’en a pas vu une goutte ? cinq ans, six ans, peut-être plus, tu ne sais plus Charlotte, tu ne sais plus ! La dernière fois c’était où Charlotte ? Mais rappelle-toi, Charlotte ! C’était certainement avec Monsieur Charles, le vieillard du quatrième étage de la rue de la Brouette, avant que sa vieille ne s’aperçoive de nos jeux et qu’elle ne te renvoie sur le champ, te jetant tes affaires sur la figure ! Eh oui Charlotte, c’était le bon vieux temps, où l’on te désirait encore. Monsieur Charles, bientôt 80 ans, était encore dragueur et coquin. Madame Jeannette, sa femme, était un peu plus jeune, dans les 70, mais elle pouvait encore descendre et monter les escaliers, et sortait tous les jours s’entretenir et faire des petites courses. Alors souvent, les jeudis où tu travaillais chez eux, tu te trouvais en tête à tête avec Monsieur Charles qui, devant sa femme feignait de paraître malade et ne pas pouvoir sortir du lit et se redressait vivement dès qu’il entendait la porte se fermer et sa ...
... femme s’éloigner dans les escaliers laissant traîner derrière elle son petit chariot à légumes qui claquait à chaque coup sur les marches en bois. Il sortait du lit, Monsieur Charles, avec son pyjama rayé en longueur, m’appelait pour l’aider à aller faire sa toilette. Il faisait semblant d’avoir du mal à marcher, et donc je le laissais poser un bras sur mes épaules, qu’il faisait tomber ensuite sur mes seins, je le tenais par le flanc et on marchait ensemble les cinq ou six mètres jusqu’à la petite salle d’eau contenant un lavabo minuscule, une cuvette pour une fesse et une douche d’un demi-mètre de côté. Et puis Monsieur Charles en profitait pour me presser un sein, ou me taper les fesses par l’autre main, feignant de présenter ses gestes comme involontaires. Charlotte se tait et me regarde dans les yeux. Elle prend une grande bouffée d’air. Ses petits yeux noirs brillent. — Je lui disais : « je suis au service de Monsieur Charles. Dès qu’il veut quelques chose, je suis prête à le satisfaire, c’est ce que m’a dit Madame Jeannette ». Alors il me répondait : « Puisque Madame l’a dit, je ne peux pas m’en soustraire Charlotte, j’ai mal sous le pantalon Charlotte, peux-tu voir de quoi il s’agit ? ». « Tout à l’heure Monsieur », je lui rétorquais, « pour le moment il faut que Monsieur fasse sa toilette, peut-être qu’il ira mieux après ». C’était un jeu, mais cela nous faisait plaisir, et nous le variions légèrement à chaque fois. Enfin après sa toilette, je l’aidais à rejoindre sa ...