Confidences de ma boulangère
Datte: 02/05/2019,
Catégories:
Lesbienne
Mature,
Hardcore,
... plusieurs semaines, je n’en pouvais plus de me cacher. Elle était radieuse derrière la banque, notre passion éclatait. Jules me faisait l’amour plusieurs fois par semaine…A 50 ans bientôt, ma sexualité n’avait jamais autant explosé. J’étais bi, heureuse, et commençait à penser souvent que j’étais mieux avec elle…On s’entendait bien, il nous surprenait en train de bavasser, sur les clients, sur la mode, sur la politique… Il était gai, ravi que l’on s’entende…Il était content, normal pour un cocu…Le mari de Josy fut condamné à lui verser une somme coquette pour coups et blessures.Le divorce était prononcé à ses torts.Il fit un peu de prison, ressortit, il avait compris, il quitta la ville après lui avoir adressé une longue lettre d’excuses…Josy était aux anges, elle fêta ça dans son nouvel appartement, cela faisait 2 ans qu’elle était chez nous…Je sentais qu’elle allait partir. A des petits riens, cette semaine, elle était pensive, moins complice.Je cherchais à savoir si elle avait rencontré quelqu’un…Elle ne me répondait dans le vague, me parlant d’ami qu’elle avait retrouvé…Un après-midi, elle ne voulut plus monter avec moi dans la chambre…Elle passait du temps sur son portable…Puis en fin de semaine…- Je… Je vais partir à la fin du mois, le temps de me remplacer…- Mais pourquoi ?- J’ai rencontré quelqu’un…- Un homme ?- Oui. Je suis amoureuse… Lundi, j’ai fait le pas avec lui… Même âge, beau comme un astre, il tient un magasin de sports en ville…Il semble aisé, il cherche à ...
... refonder un foyer, il est divorcé aussi…Tu vas vivre avec lui ? Déjà ?Il est si gentil…- Bon… Bien… Tu reviendras me voir ?- Je ne te quitte pas en tant qu’amie, juste comme patronne…- Et pour nous deux ?- Je ne sais pas encore, je t’apprécie beaucoup, je n’ai connu que toi depuis un an… Mais il me manque un homme, ce complément de chair dans mon ventre…Lundi j’ai craqué. Un feu d’artifices, toute l’après-midi, et la nuit entière…Josy est de nouveau une femme heureuse, moi, tu vois, je ne le suis plus.Ne plus la voir, ne plus la toucher, la sentir contre moi, lui faire l’amour… Je m’étiolais…Jules s’en est aperçu… Je passais le tout sur le départ rapide de notre Josy…Puis tu m’invitas…Marika, ma bouée, ma sauvegarde…Tu sentais mon désarroi, tu connais les femmes… Je venais vers toi, mais je visais autre chose et tu le devinas instantanément…Tu pris ton téléphone et comme dans le jeu télévisé, tu appelas un ami…Il voulait bien répondre à ta question…Une heure plus tard, Romain me faisait vibrer avec toi, cette fois le coup de poignard était de mon fait, réfléchi et complet, il dura toute la nuit aussi…Au matin, je compris Josy, toi, toutes les femmes qui trompent leur mari, bon dieu que c’est bon de se faire sauter par un autre, différent, attentif, performant, et on remit ça le lundi, je n’étais pas rentrée, j’avais simplement marqué « En vacances ! », dans mon journal intime et sur un panneau, accroché devant la boulangerie…Tu me gardas quelques semaines, puis je vous fis ...