1. Julie : à la recherche de sensations fortes (1)


    Datte: 02/05/2019, Catégories: Hétéro

    ... que ce qui allait arriver ensuite ne serait pas facile pour moi mais je mourrais d’envie de m’occuper de lui, de l’avaler et de lui faire profiter de l’intimité de ma bouche, de mes palais et de mes lèvres. Je mourrais d’envie de lui caresser le gland, les couilles et la hampe avec ma langue. Je ferais tout pour qu’il me baise la bouche à cet instant précis... Comment en-suis-je arrivée là ? Je ne sais vraiment pas ! Mon nom est Julie, j’ai 19 ans, je suis des études de marketing et ça fait 1 an que je sors avec Louis, 22 ans. Au niveau sexuel nous avons seulement fait l’amour quelques fois, généralement pendant quelques minutes au matin et sans préliminaires. Il n’en a jamais réclamé de toute manière et je dois avouer que sa bite de 13cm en érection ne me tente pas tellement. J’ai toujours été attirée par les gros engins. Les seuls que j’avais vus avant étaient ceux de mon père et de mon frère qui n’avaient rien à envier à José, mon meilleur ami. Bref inutile de dire que l’insatisfaction sexuelle est mon quotidien depuis maintenant un an et mon expérience se limite à quelques ébats dans la position du missionnaire. Quitter Louis n’est pourtant pas une option car il travaille, gagne bien sa vie et il est toujours très tendre avec moi. Mais tout cela n’explique pas pourquoi je me retrouve ce soir pour l’anniversaire de José, devant son imposant chibre dressé vers moi. Le feu intérieur qui me pousse à vouloir ce qui arrive en ce moment vient du fond de mes désirs, de l’envie ...
    ... insoutenable de sensations fortes qui me font chavirer rien que d’y penser. J’ai d’abord essayé d’assouvir mes désirs toute seule. Je me suis acheté un godemiché avec des ventouses au bout ce qui me permet de l’accrocher au mur ou sur une chaise. Ce fut bien amusant mais il manquait quelque chose, il manquait la sensation de tenir le plaisir d’un homme entre mes mains, entre mes lèvres, entre mes seins qui rentrent à peine dans du 90D et qui ne cessent de grandir depuis ma puberté. Bref, il me fallait une queue, et une grosse queue ! Revenons à cet instant où, José, qui ne savait plus contenir son excitation, passa sa main droite dans mes longs cheveux bruns, probablement pour me donner l’autorisation de commencer mon œuvre et de faire travailler mon organe buccal, qui s’était reposé depuis trop longtemps. Je savais exactement ce que je voulais en cet instant précis : passer à table, lui dévorer son membre ! Je me suis exécutée sans plus attendre. Je passe le bout de mon index de son frein jusqu’au bout de son gland pour m’assurer que son érection est bien complète, et elle l’est. J’effectue ensuite le même mouvement avec ma langue, une première fois, puis une deuxième et une troisième. La respiration de José se fait de plus en plus entendre lorsque je commence à le branler de haut en bas tout en faisant des huit avec la langue sur ses deux gros testicules bien rasés. J’en profite pour humidifier ce gourdin qui ne cesse de s’agrandir et de durcir en crachant le peu de salive ...