1. Papy est un suceur de tétine


    Datte: 02/05/2019, Catégories: fh, hplusag, grosseins, humilié(e), chantage, confession,

    ... sursauta et se retourna sur un vieillard en fauteuil roulant. — Ne tirez pas ! L’homme tenait fermement un fusil de chasse qu’il pointait sur Catherine. Il poussa un petit rire équivoque et bougonna : — Qu’est-ce que vous foutez là ? Catherine ouvrit grand les yeux, son sac à main tomba à terre et, à la recherche d’une pirouette, elle serra sa mallette contre sa lourde poitrine. — Je suis Catherine La Motte Pernac de l’agenceEcho Imm. J’ai été contactée par vos deux fils pour estimer votre maison.— Qu’est-ce que c’est que ces conneries ?! Le vieil homme posa son arme sur ses cuisses et recula son fauteuil avec ses doutes. — Monsieur Lopez, je ne comprends pas, ils m’ont certifié que vous étiez en maison de retraite !?— Les petits salauds ! Cela fait des années qu’ils lorgnent sur l’héritage, mais je ne suis pas mort ! Le vieil homme poussa un long soupir en s’éloignant dans un couloir. — Mes fils, ma fierté, et maintenant toute ma honte !— Je suis désolée, Monsieur Lopez.— Appelez-moi Antoine, ma chérie. Catherine sursauta : elle n’était pas soumise à ce genre de familiarité. Elle suivit l’homme en fauteuil roulant jusque dans le salon. Elle posa sa mallette et son sac pour sortir une paire de lunettes. L’homme déposa son fusil sur un fauteuil et il se retourna sur celle qui restait pour lui une hors-la-loi ; il la surprit détaillant du regard ses biens d’une vie et quand elle le découvrit, elle pinça les lèvres en baissant les yeux. D’un regard glacial, le vieillard la ...
    ... déshabilla des pieds à la tête, il s’attarda sur cette poitrine qui semblait avoir la bougeotte. Hypnotisé, il semblait réaliser, chaque seconde, qu’il avait devant lui « une bombe ». Antoine resta songeur, avant de croiser le regard inquiet de cette brune BCBG. — Ne t’inquiète pas ma pouliche. Si j’avais 40 ans, je te ferais la cour, mais y a un bon moment que ma tuyauterie déconne.— Pouliche ?! Comment ? Écoutez, je ne suis pas là pour me faire insulter ! Je ne suis pas votre aide-soignante ! À nouveau, Antoine fixa cette poitrine qui s’agitait au rythme de l’irritation de Catherine. — Tais-toi ! J’ai soixante-dix-huit ans et tu me dois le respect ! Catherine n’avait pas l’habitude qu’on lui parle sur ce ton. À l’agence, elle était la patronne et au niveau de la région, ses subordonnés la craignaient. Un instant de silence s’éternisa… L’homme soupira et Catherine recommençait à décrire le salon… — Ferais-je mieux de partir en maison de retraite !?— Voulez-vous vendre ?— Pensez-vous que je peux me défendre contre ces deux enfoirés !? Catherine ne répondit rien ; elle détaillait les huisseries pendant que le vieillard la détaillait du coin de l’œil : cette paire de jambes nues jusqu’à mi-cuisses, ces fesses moulées dans une jupe sur mesure ou cette bouche à peine maquillée. Catherine quitta le salon et sans gêne, elle monta l’escalier. Avec un temps de retard, Antoine la suivit et put détailler les cuisses fermes en rêvant de découvrir un temple inaccessible. À voix basse, il ...