1. Il n'est jamais trop tard


    Datte: 03/05/2019, Catégories: fh, fhh, hagé, fagée, couple, cocus, Oral Partouze / Groupe fsodo, init, couple+h, cocucont,

    ... essayant de se dérober et dans un cri, dit : — Non, pas par là. Je ne veux pas. Tu es trop gros, tu vas me déchirer… Mais Georges ne l’écoute pas et, tout en bloquant sa partenaire, il tente de forcer le passage du sphincter. Je suis sûr qu’il pense que ma femme simule, comme elle aurait fait pour le passage de sa gorge, et que tout cela fait partie du jeu de séduction ou du dernier rempart de la femme adultère. Mais comme, malgré ses efforts, il n’arrive pas à entrer, il retrouve le chemin du con pour la besogner à nouveau et plaquer ses deux mains sur la poitrine de mon épouse qui oscille alors au rythme de la pénétration. Les tétons sont si sensibles aux caresses que les gémissements succèdent au refus. Profitant de cette diversion, sans prévenir, en catimini, d’un coup de reins, il arrive à faire entrer son gland dans le conduit convoité. Mon épouse pousse alors un cri de surprise et de douleur qui aurait fait reculer tout amant inexpérimenté, mais Georges, dans sa logique de femme simulatrice, ne se laisse pas démonter et profite de son avantage pour s’enfoncer jusqu’à la garde. — Arrête. Non. Oh j’ai mal, arrête, enlève-toi. Mais, bien sûr il n’en fait rien et au contraire, il s’allonge sur elle pour l’immobiliser et ne former plus qu’un seul corps. Seules ses mains continuent leurs caresses, l’une faisant rouler entre ses doigts la pointe d’un sein alors que l’autre se glisse pour trouver le chemin du clitoris. Petit à petit les protestations de l’enculée ...
    ... faiblissent pour laisser la place à de petits gémissements. Georges continue ses agaceries sans déplacer son pieu qui doit, dans un premier temps, faire oublier sa présence tant la dilatation du sphincter et du conduit anal est grande. J’aurais voulu pouvoir me déplacer pour constater de mes yeux comment ce petit trou pouvait s’ouvrir au point qu’un manche de pioche y trouve son chemin. Mais prudence, mon arrivée perturberait trop les amants et je dois rester tapi derrière ce rideau si je veux pouvoir assister à mon cocufiage par des acteurs libres de toute contrainte. Maintenant je vois Georges se redresser lentement et, tout en continuant ses caresses, faire glisser son bâton hors du cul de ma tendre, sans pour autant faire sortir le gland et garder ainsi le sphincter en bonne dilatation. Le moment suivant il pousse pour retrouver le chemin du tunnel ce qui ne provoque déjà plus les cris de douleur mais des : — Oh ! c’est trop gros, arrête-toi, tu ne pourras pas entrer en entier, elle est trop longue ! Mais il est déjà à fond et il lui dit : — Laisse-moi faire, tu vas voir. Il place ses mains bien en appui sur les hanches de sa partenaire et commence un lent mouvement de va-et-vient en conservant toujours le gland dans l’anus. On peut voir sa queue, luisante de crème, coulisser sans effort et sans provoquer de remarques de ma femme qui semble se détendre puisqu’elle se redresse de la table pour s’appuyer sur ses avant-bras, laissant sa poitrine, encore bien ferme malgré son âge, se ...
«12...567...13»