Il n'est jamais trop tard - Histoires de Sexe

Il n'est jamais trop tard

... jusqu’à sa fellation avalée en passant par son cul ramoné avec le plaisir décuplé de cette sodomie. Mais non, alors je m’empare de la caméra et, oh stupeur, le disque est vierge, comme si rien n’avait été enregistré. Je ne peux qu’exprimer ma déception et je comprends maintenant pourquoi ma femme l’a manipulée pour effacer toute trace de cette séance. — Je n’ai pas touché le caméscope. C’est toi qui l’as installé et réglé. Alors tu ne dois t’en prendre qu’à toi-même. Et s’approchant de moi, plus charmeuse et me prenant dans ses bras : — Ne regrette rien. Tu n’aurais rien vu d’extraordinaire. Merci pour cette expérience mais c’est avec toi que j’aime encore le plus. Et elle m’embrasse. Je ne peux pas m’empêcher de penser que, une heure plus tôt, cette langue qui s’enroule à la mienne léchait le sexe de Georges et se délectait de son sperme. Je pense que son approche était un appel au sexe mais non, elle me laisse en plan, prétextant du ménage. Pendant une semaine j’ai vécu un calvaire. Nous avons retrouvé notre routine et aucune fantaisie supplémentaire alors qu’à chaque instant, je revis le spectacle de ma femme suçant et se faisant sodomiser par un autre. Je ne peux pas lui dire que je sais tout car ce serait reconnaître que je lui ai menti et dans notre couple la confiance est établie comme gravée dans le marbre. Heureusement, j’ai l’idée de porter le caméscope dans une boutique de dépannage informatique et, en quelques manipulations, ils ont retrouvé le film qui avait été ...

... effacé, démontrant si nécessaire que rien n’est vraiment perdu sur un disque dur. Je vous passe le sourire de l’homme qui, vérifiant que tout avait été récupéré, a visionné quelques secondes de la séance. À cet instant, j’ai apprécié de vivre dans l’anonymat d’une grande métropole et d’avoir choisi une boutique dans une autre ville. De retour à la maison, j’ai immédiatement appelé mon épouse pour l’informer de la bonne nouvelle, mais au moment de mettre le film en marche sur la télé, elle s’est mise à sangloter et en m’arrachant la télécommande des mains, a dit : — Non, il ne faut pas que tu regardes. Après tu ne voudras plus de moi. Je me suis comportée comme la dernière des traînées et j’ai honte de ce que j’ai fait.— Chérie, pourquoi te mettre dans cet état ? C’est à ma demande que Georges et toi avez fait cela. Je serais mal venu de te reprocher ta conduite, et je vous ai laissés seuls justement pour que tu sois libérée et sans tabous.— Oui, mais je suis sûre que tu n’imagines même pas ce que nous avons fait et surtout des choses que nous ne faisons pas ensemble. Je l’ai… (mais le mot ne sort pas de ses lèvres) et il m’a… (toujours ce blocage), tu sais, par derrière, et puis… (silence) Surtout j’ai honte d’avoir eu du plaisir de me comporter comme une salope et de jouir avec lui.— Allons, chérie, donne-moi la télécommande et viens à côté de moi. Regardons ensemble. Pendant la demi-heure suivante, j’ai revu sur grand écran ce que j’avais regardé caché derrière mon rideau. ...