1. Une femme délaissée redécouvre le plaisir


    Datte: 03/05/2019, Catégories: f, fh, Collègues / Travail grossexe, BDSM / Fétichisme

    ... déjà arrivé. Heureusement, Catherine, ma collègue et amie, m’a gardé une place à ses côtés, je lui lance un regard, je vois bien que ma tenue ne lui a pas échappé, elle me renvoie un signe approbateur. Je m’installe, la réunion démarre, nous plaisantons avec Catherine sur ma tenue, elle me trouve rayonnante et me croit amoureuse. Amoureuse ! Si elle savait… D’ailleurs, tiens oui, qui est là à cette réunion ? Mon regard détaille l’assemblée et se fixe sur Olivier ; je l’avais déjà vu l’année dernière, un beau ténébreux, vraiment pas mal, je croise son regard et lui sourit. Cela fait plusieurs fois que je regarde Olivier et le surprends à me regarder, et surtout à mater mes jambes. La vue ne doit pas être désagréable, ma robe doit me remonter à mi-cuisse, mes jambes croisées lui laissent tout loisir d’en profiter. Cela fait plus d’une demi-heure qu’il ne m’a pas regardée. Déçue, je croise et décroise les jambes pour attirer son regard, je glisse une main sous la table, remontant un peu ma robe, je dois être folle ! Enfin, il me regarde à nouveau. A-t-il vu la différence, a-t-il perçu mon intérêt, non, il doit croire que c’est un hasard. La journée se déroule ainsi, longue et usante, seul un plateau-repas vient en distraire la monotonie. La séance est levée. Soulagement ! Nous nous dirigeons vers la sortie, non sans avoir lancé un dernier regard au bel étalon mystérieux. Nous nous engageons toutes les deux dans le couloir, je sens un souffle dans mon oreille : — Merci pour cette ...
    ... réunion si intéressante, je ne regrette que la sagesse de vos dessous. Je sursaute en reconnaissant la voix chaude d’Olivier ; quand je me suis retournée, il n’était déjà plus là. Mon cœur bat à deux cents à l’heure, mes jambes flageolent, mais qu’est ce qu’il raconte, mes dessous ? Je n’ai pourtant rien montré, je refais le film de la journée. Comment a-t-il pu ? Ai-je eu un moment d’égarement, c’est vrai que j’ai perdu l’habitude d’être en robe, mais quand même ! Je quitte Catherine en lui disant à peine au revoir, obnubilée par mes pensées. Le chemin qui mène chez moi est court, je pousse la porte et pose mon sac à main, encore toute tremblante. Je suis partagée entre la honte et l’excitation, le téléphone sonne, c’est Laurent : dur retour à la réalité, nous discutons de banalités, je l’écoute à peine. Je m’assieds sur le bras du canapé, je sens encore son souffle dans mon cou, des images défilent dans ma tête, ma main remonte sur ma cuisse, frôlant mon collant, j’ouvre les jambes, appuie sur mon intimité… un soupir m’échappe. — Que que fais-tu ? dit Laurent. Je suis affolée, il est encore en train de me parler. — Je… euh… tu me manques, chéri d’amour, j’ai envie de toi. Froid, il me lance : — Par téléphone, je ne peux rien pour toi. Quel goujat ! J’écourte la conversation et raccroche. Je dîne rapidement, lasse, et ne tarde pas à rejoindre mon grand lit froid où je me niche, nue et frigorifiée. Ma nuit fut courte et agitée, des pensées troubles m’ont envahie et, quand le ...