Avec des amies comme ça… (28)
Datte: 03/05/2019,
Catégories:
Trash,
... une surprise… ça rend le choix plus amusant. Soit on appelle la police pour que tu ailles en prison, soit tu respires le chiffon qu’a sorti Abdil. Il est rempli de chloroforme. Tu vas t’endormir, et on te préparera une chouette surprise à ton réveil. On est cool, on te laisse le choix. — Le choix ? La prison c’est un choix pour toi ? — Je suppose que tu préfères faire de beaux rêves… » Elle hocha la tête. Abdil s’approcha d’elle et lui plaça le mouchoir sous le nez, et quelques secondes plus tard elle s’endormit. Il ne restait plus qu’à porter Hélène jusqu’à la voiture et à la conduire chez le père de Florence. *************** Trente-six heures plus tard, Hélène était presque nue dans un lit d’hôpital. Je la regardais anticipant son réveil et essayant de prévoir ses réactions. Je voulais à tout prix être là quand elle prendrait conscience de ce qu’on lui avait fait. Justement, elle ouvrait les yeux... « Bonjour Hélène, tu as fait de beaux rêves ? — Je… ouch je chuis ? — Tu es chez le papa de Florence. Tu te souviens d’elle ? C’était une vraie beauté... avant que tu te mettes en tête d’en faire un tas de graisse obèse. Il faut dire qu’elle avait une bonne raison pour être belle. Quand ton daron est chirurgien esthétique, tu n’as pas envie d’être moche, ça te file des complexes. — Qu’esche que…. Pouquoiche je parle comcha ? — Ne t’inquiète pas, ça va passer dans quelques jours, c’est une séquelle de l’opération. — Une opérachion ? — Oui, tu trouves pas ça généreux ? Tu tues sa ...
... fille, et en retour tu as le droit à des actes chirurgicaux gratuits. T’es vraiment une petite pourrie gâtée, toi. — De la chirurchie ? Qu’esche que tu m’as chait ! — Je crois que le mieux, c’est que tu lèves et que tu le découvres par toi-même, il y a un miroir juste là. » Hélène, tout juste sortie du sommeil et un peu affaiblie, prit appui sur la barre métallique du lit médical et posa timidement les pieds au sol. Elle fit quelques pas hésitants jusqu’à se retrouver devant le miroir sur pied où elle se regarda. Son cerveau prit quelques secondes à lui faire comprendre ce qu’elle voyait : son reflet. Si ce n’était le collier de Fifi qu’elle portait autour du cou, elle était nue. Mais on ne pouvait pas dire qu’elle était comme dieu l’avait faite... Elle avait subi des changements massifs, le plus spectaculaire était sa poitrine. Ses seins qui avaient auparavant la forme de grosses oranges juteuses avaient pris la taille de pastèques hypertrophiées. Ses lèvres banales étaient devenues gonflées, pulpeuses, prenant une place considérable sur son visage. Elle ouvrit la bouche pour crier, mais elle resta coite en découvrant un piercing sur la langue. « Qu’esche-che que vouch m’avez faiche ? — Des implants mammaires. Tu as vu comme ils sont réussis ? Énormes… Monsieur Perchaud m’a dit que c’est les plus gros qu’il ait jamais faits. Je sais même pas s’il existe une taille de bonnet pour ça… Ça pourrait être embêtant d’ailleurs... comment faire pour trouver des vêtements qui puissent ...