1. COLLECTION ZONE ROUGE. La comtesse Juliette de la Panouille (1/1)


    Datte: 04/05/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... un véritable palace sur roue. Je vois que nous descendons dans un parking souterrain au plus bas où se trouvent seulement une ou deux voitures garées, je sais qu’il y a des caméras, mais je vois que Lucien le sait aussi, car il se gare hors de leur portée. À travers la vitre de séparation elle aussi opaque me protègent de ses regards, je le vois descendre et monter à mon côté. • Madame que désirez-vous ? • Vous posez une seule question. • Laquelle ? • Avez-vous une petite amie ? • Des relations passagères, mais rien de bien sérieux, pourquoi me posez-vous cette question Madame ? • Dans ce cas, voulez-vous être mon complice ? • Cela dépend pourquoi, si c’est pour tuer votre mari hors de question, j’aime trop ma liberté, pour autre chose, vous pouvez entièrement compter sur moi, je vous serais toujours dévoué. J’éclate de rire. • Je vais tout vous dire, hors de question de tuer mon mari, je m’ennuie et j’aimerais vivre un peu plus librement, mais si je fais des choses déraisonnables, j’ai besoin de votre complicité. • Elle vous est tout acquise comme je viens de vous le dire. • C’est bien, mais insuffisant, je veux que nous celions notre pacte en baisant ensemble, vous m’aidez, vous restez discret et une fois par mois outre une augmentation de salaire, je serais à toi. Un peu surprit le Julien, mais quand j’ouvre mon manteau de fourrure, je lui montre mon corps chocolat au lait entièrement nu. • Merci Juliette, je serais ton amant discret, tu pourras tout me demander rien ...
    ... ne me choquera. En disant ces mots, il pivote la voiture étant assez spacieuse et se retrouve à genoux entre mes jambes que j’ouvre au maximum. Si sa verge est aussi experte que sa bouche, j’ai bien fait de lui faire confiance, je récupère un allié doublé d’un amant dont je pourrais me servir à mon gré une fois par mois ou plus si j’en ai envie. Sa langue arrive à me donner de savoureux frissons, mais quand il sort sa verge que je mets à mon tour dans ma bouche son volume à du mal à entrer. Un tel engin, je le veux rapidement en moi, je me place à quatre pattes, après avoir mis la capote que je lui ai tendue. Je l’ai sortie de la poche de mon manteau l’ayant récupéré dans la table de nuit où elle se trouvait et où je les ai découvertes avec ses copines, au lendemain de mon mariage en fouinant pour découvrir si la Panouille avait des petits travers cachés. Hubert devant s’en servir, du temps de son célibat et tête en l’air, il a dû les oublier. Oubli fâcheux pour lui, car Lucien étant entré en moi, me pilonne vigoureusement en me malaxant les seins allant même jusqu’à tirer dessus chaque fois qu’il plonge son pénis en moi. Heureusement, au moment où il décharge et où un orgasme simultané me cloue sur la banquette notre isolement, parfait vu les cris que nous poussons. Putain que c’est bon, j’ignorais que baiser en prenant son plaisir était possible, même si avec Hubert un léger frisson lui permet de penser qu’il était un bon mari. • C’est bien Lucien, nous sommes amants donc ...