1. Petite fixation anale dans un cadre professionnel - 1


    Datte: 04/05/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail BDSM / Fétichisme Oral fdanus,

    Je ne me souviens plus exactement de la manière dont ça a commencé. Ce qui est sûr c’est que tout a basculé quand j’ai aperçu le string qui dépassait de son pantalon, alors qu’elle était assise à la terrasse de ce resto miteux. Elle mangeait de la pastèque, il me semble. Enfin, ce n’était pas exactement un string, d’ailleurs, c’était une sorte de brésilien, vraiment suggestif. Il paraissait à vue de nez à moitié transparent, pas complètement mais assez pour voir les poils pubiens, par exemple, le dessin des lèvres même, sûrement. J’imaginais tout à fait ce que ça pouvait rendre en entier. En même temps, je me disais, sans trop de raison, qu’il devait être parfait pour être arraché avec les dents. Bref, une heure après, on se retrouvait tous deux fortuitement dans ce remarquable ascenseur. Un instant, j’ai hésité à lancer la conversation sur les trois métamorphoses de l’esprit de Nietzsche et puis, je me suis dit, qu’elle n’était sans doute pas très intelligente, ni guère cultivée et que tout ceci ne nous mènerait pas bien loin. Peut-être même cela lui aurait-il donné l’impression que je me foutais de sa gueule. Ça arrive souvent, ça. Bon, du coup j’ai opté pour une approche pleine de finesse, du style : dis donc, t’as fait peter le string aujourd’hui - alors même que j’avais tout à fait conscience qu’il ne s’agissait pas d’un string ! Là-dessus, elle a fait semblant d’être choquée, alors qu’elle était juste vaguement étonnée, en même temps que flattée par le fait que je ...
    ... puisse m’intéresser à la vie trépidante de ses petits dessous. Pourquoi être flattée qu’un mec comme moi s’intéresse à ce qui se rapporte de manière assez direct à son cul ? - je n’en sais vraiment rien. Peu importe, en définitive. Sans doute, a-t-elle senti à ce moment-là le contact du tissu sur sa vulve, entre ses fesses. Finalement, elle a pouffé et ses pommettes ont rosi. Dès lors, je savais qu’elle n’avait rien contre le fait que je glisse ma bite dans ses différents orifices, au contraire. Je pouvais même, sans trop m’avancer, avoir la certitude qu’elle lécherait mon gland avec plaisir. Comme nous nous en étions tenus jusque là aux banalités d’usage entre collègues, ça faisait quand même une sacrée avancée en si peu de temps. Annick n’était pas spécialement jolie même si son visage n’avait pas de défauts évidents. D’ailleurs, il me semblait que ses traits avaient plutôt tendance à s’affiner avec le temps. Très sensiblement, dans son look, son comportement général, elle gagnait en sophistication. Les cheveux très noirs. La lèvre inférieure légèrement retroussée. Les pommettes hautes. Ah, si ! je notais finalement qu’elle avait les deux dents de devant légèrement écartées ; rien de bien méchant, cependant. Surtout, elle était particulièrement bien roulée. Un corps fin mais bien formé, un petit cul légèrement bombé et de bons seins qui remplissaient sans mal des décolletés qui invitaient à d’intenses réflexions. Je me suis donc dit qu’il fallait y aller tout de suite, pendant ...
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