J'ai baisé une femme mariée très chaude
Datte: 04/05/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
grossexe,
Collègues / Travail
voiture,
Oral
pénétratio,
totalsexe,
occasion,
Je m’appelle Michel, j’ai 54 ans et je suis routier. Je vais régulièrement chercher de la marchandise au dépôt d’un transporteur sur la rive droite de Bordeaux. C’est toujours M. qui s’occupe de moi lorsque j’arrive dans les bureaux… j’adore cette femme ! Et je pensais que je ne lui étais pas indifférent… elle avait toujours le sourire lorsqu’on se voyait. Une femme de 47 ans, magnifiquement bien roulée… elle me faisait beaucoup d’effet. D’ailleurs, à chaque fois que je repartais de leur dépôt, je me disais au fond de moi qu’un jour il fallait que je l’invite à déjeuner et que je tente ma chance pour la baiser ! Je savais qu’elle était mariée, ou en couple… mais lorsqu’on arrive à un certain âge, je sais que les femmes sont plus disponibles à tromper leur mari. Malgré mes 54 ans, j’étais plutôt pas mal foutu, et surtout avec un engin très bien proportionné. _____________________ Ce jour du mois de juin 2015, il fait particulièrement chaud ; on me charge dans le camion la marchandise que je suis venu récupérer. Je vais voir M. dans le bureau ; il est 12 h 30 : c’est l’heure où habituellement elle part déjeuner… sauf que là, il y a une erreur de stock dans le chargement. M. sort avec moi : elle doit monter dans le camion pour contrôler la marchandise avant de finaliser son transport. M. est en petite robe blanche, relativement courte et transparente à la lumière ; je peux voir qu’elle porte un string. Elle se met au cul du camion et me demande de l’aider à monter dans la ...
... remorque. Je ne me démonte pas, et je pose délicatement mes deux mains sur son joli petit cul pour l’aider à monter. Bien sûr, à ce moment-là, je remonte la robe sur ses hanches pour voir un joli string habillant un cul magnifique. Là, M. – tout en rigolant malgré tout – me dit que c’est pas une raison pour en profiter. Bien évidemment, je n’écoute pas ce qu’elle me dit, et bien au contraire, je plaque mes mains bien à plat sur son fessier rebondi. Une fois sur la plateforme du camion, M. réajuste sa robe, toute timide et gênée. Je lui dis alors qu’il ne faut pas qu’elle soit gênée pour si peu et qu’elle a un petit cul vraiment magnifique. Elle me sourit alors, et je comprends finalement que ça ne l’a pas du tout dérangée. Mais à quel point ? Très sérieusement, M. reprend le travail pour contrôler la marchandise, mais je ne la sens pas si concentrée que cela sur la tâche qu’elle doit accomplir. Voyant qu’elle n’y était pas, je lui en fais la remarque et lui demande si elle a été troublée par mes mains aux fesses, et en insistant sur le fait que moi, j’ai été particulièrement troublé par la vue de son très joli petit cul. M. finit par m’avouer que ça l’a un peu déstabilisée sur le coup… qu’elle ne s’y attendait pas du tout, mais qu’elle a apprécié ! Je recule alors vers la porte du camion pour la refermer discrètement, puis je reviens vers elle et je le plaque tout contre moi. Je plaque mes mains sous sa robe et je commence à caresser son petit cul. À ma grande surprise, elle se ...