1. L'amnésique (adoucit les mœurs)


    Datte: 05/05/2019, Catégories: f, fh, ff, fbi, frousses, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, attache, fouetfesse, délire, humour, policier, aventure,

    ... de l’héliport, situé à une centaine de mètres tout au plus de l’entrée du château. Je m’étonne donc de la voir au volant d’une voiture de golf. — Je vous remercie, Vanessa, mais je crois encore pouvoir marcher. Elle sourit. — Non, mais ce matin, nous étions convenus d’un rendez-vous. Bigre ! Cela m’était totalement sorti de l’esprit. — Ah ? Et où allons-nous ?— Essayer de renouer avec le passé… Dans le torchon du journaliste, il est souvent question d’un mystérieux pavillon de chasse dont personne ne sait à quoi il ressemble. Par contre, on a une idée assez précise de la nature du gibier qui était chassé. Cela fait un bon quart d’heure que nous zigzaguons au milieu des frondaisons lorsque la route se met soudain à s’élever avant de déboucher sur une immense clairière. Là, à une bonne centaine de mètres et surplombant la plaine, apparaît un chalet de rondins… Ce serait donc cela, le fameux pavillon de chasse dont il est si souvent question ? Si l’ensemble ne se démarque pas par sa taille, il n’en demeure pas moins que la façade, intégralement constituée de panneaux de verre, doit offrir un sacré panorama lorsque l’on se trouve à l’intérieur. Je note, même si la saison ne s’y prête pas, la terrasse ainsi que la piscine aux dimensions visiblement prévues pour deux. Ce pavillon est un vrai petit nid d’amour, en fait. Quelques pas sur la terrasse, et avant même d’en avoir franchi le seuil, j’ai une vue assez précise de l’agencement du lieu. En haut, c’est clair, une mezzanine où ...
    ... se trouve probablement le paddock. À droite, face à la baie vitrée, une table, deux chaises et un canapé de toile écrue. Derrière ce petit coin repas, et le surplombant de deux marches, une kitchenette avec vue sur le parc. À gauche de l’entrée, ce qui m’a tout l’air d’être l’accès à la piscine et également à la salle de bain qui me semble bien, elle aussi, être intégralement vitrée. Vanessa s’amuse de ma surprise. — Le parc avoisine les cent hectares, totalement clôturés. Ne vous inquiétez pas, il y a peu de chances que nous soyons surpris par des promeneurs. En fait de promeneurs, j’aperçois une biche et son faon dans le lointain. Et à la lisière du bois, sur la droite, quelques familles de lapins doivent avoir élu domicile. On peut difficilement faire plus bucolique. J’attrape Vanessa par la manche. — Je ne sais ce que nous avons fait ici même par le passé, mais je vous rappelle que rien ne vous oblige à quoi que ce soit. Elle sourit. — Je le sais, Monsieur… Et sachez que ce n’est que de mon propre chef que j’ai décidé de vous emmener ici… Visiblement très émue, elle poursuit. — …en souvenir du passé. Et, se reprend-t-elle, cela vous aidera peut-être à vous souvenir de nous… Allez, assez discuté, entrons. Une petite cuisine en surplomb et donc, logiquement, une rambarde pour séparer la pièce. Et, tout aussi logiquement, un poteau de bois pour soutenir la dite rambarde sur laquelle Vanessa vient de s’appuyer. Là, j’assiste à un petit manège assez inattendu : un pied sur la ...
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