1. L'amnésique (adoucit les mœurs)


    Datte: 05/05/2019, Catégories: f, fh, ff, fbi, frousses, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, attache, fouetfesse, délire, humour, policier, aventure,

    ... le terrain. Du coup, autant taper directement dans la butte. — Mesdames et Messieurs, concernant la cession d’une partie de l’entreprise à mon épouse et à ma fille, j’ai souhaité y apporter quelques modifications. Vous disposez de tous les détails sur les documents qui viennent de vous être remis, et vous constaterez qu’ils sont loin de vous être défavorables. J’estime qu’il serait préférable que nous puissions parvenir à un accord dès cet après-midi. Lorsque je ressors de ce fameux conseil d’administration, je suis ovationné. Tout cela n’aura duré qu’une petite heure et demie. Jusque là, tout roule. Reste à savoir quelle sera la réaction des deux intéressées lorsqu’elles apprendront la nature de mes modifications. —ooo0ooo— Normalement, et compte tenu de ce qui s’est passé cette nuit, je m’attendais pour le moins à ce Marie-Charlotte ou Patricia viennent me faire un compte rendu de la soirée, mais elles sont toutes deux absentes. Je croise Vanessa. — Où sont-elles ?— Je ne sais pas si j’ai le droit de le dire, Monsieur…— Mais parlez, bon sang ! Ce n’est pas le moment de faire des cachotteries ! Vanessa et moi étions convenus que, si je la tutoierais lorsque nous sommes en privé, je continuerais de la vouvoyer le reste du temps. Elle, par contre, refuse catégoriquement de me tutoyer, quels que soient l’endroit ou la situation. — Vous devriez les chercher du côté de la salle de torture… Mais moi, je ne vous ai rien dit… Et d’ailleurs, je ne suis au courant de rien. Mais à ...
    ... quel jeu jouent-elles encore, les deux nénettes ? C’est le cœur battant que je traverse à grands pas le couloir qui même à la fameuse salle. Je m’abstiens de cogner à la porte ; l’effet de surprise n’en sera que meilleur. En fait de surprise, c’est moi qui reste bouche bée. Patricia est nue en plein milieu de la pièce. Ses chevilles, enserrées dans des bracelets de cuir noir, sont reliées à des anneaux dans le sol distants d’une bonne cinquantaine de centimètres. Ses poignets, quant à eux, sont également enserrés dans des bracelets de cuir reliés à des chaînes qui se perdent dans l’obscurité et qui la maintiennent les bras levés. Tout son corps est luisant, sans que je ne puisse affirmer s’il s’agit de sueur ou d’huile destinée à éviter les éventuelles plaies dues aux coups de martinet que Marie-Charlotte, tout aussi nue que sa victime, est en train de lui administrer. Je suis sur le point d’intervenir, fou de rage, lorsqu’un détail me saute au visage : Patricia est certes en train de se faire corriger, mais son sexe qui ne cesse de palpiter tel un poisson hors de l’eau, est trempé. Un filet de mouille s’écoule même le long de sa jambe… Qu’importe, j’arrache le martinet des mains de Marie-Charlotte. — C’est quoi cette connerie ? Je croyais avoir été clair ! La réponse ne vient pas de là où je m’attendais. — Laisse tomber, s’il te plaît… C’est moi qui lui ai demandé. Ne la blâme pas, j’ai dû la menacer de ne pas signer notre accord si elle n’acceptait pas. Marie-Charlotte hausse ...
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