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Motel
Datte: 05/05/2019, Catégories: Lesbienne
... Elle me tenait dans ses bras. Sa bouche me quitta. Elle me regarda souriante. - Cela vous a plu? » Je la regardais longuement, les yeux fiévreux et pour toutes réponses, je l'embrassais à mon tour mais plus ardemment. Ses mains se mirent à bouger et glissèrent sur ma poitrine nue sous le tee-shirt. Je pétrissais son superbe cul, glissant de temps en temps une main entre ses jambes qu'elle m'ouvrait sans retenu. Elle mouillait autant que moi. Elle me débarrassa de mon tee-shirt alors que je déboutonnais mon short. Nos bouches finirent par se désunirent et elle attaqua voracement ma poitrine. Je gémissais. Une main glissa sur mon string. Elle grogna lorsqu'elle sentit la moiteur de mon entre cuisse. Je me tenais à ses fesses pendant qu'elle dévorait mes seins et me branlait sous le string. Je jouis ainsi. Elle me fit allonger sur le lit et retira ma culotte. - Humm, cela fait longtemps que je ne me suis aussi bien régalée. » dit elle. « Je vais te donner du plaisir ma belle et tu vas aimer cela. » Sa bouche plongea entre mes cuisses et une langue vorace me lécha mon intimité. On n'avait pas été jusque là avec Nathalie. C'était nouveau et j'aimais beaucoup. Mes cris de plaisir l'encouragèrent à sa besogne. Quelle sensation de sentir une langue glisser dans la partie la plus intime de sa personne. Aucun de mes amants n'avaient été aussi bon à ce jeu. Je jouis encore sous sa langue. Elle ne me lâcha pas. Je sentis une odeur bien particulière près de mes narines. J'ouvris les yeux ...
... et vis son superbe pubis. Je saisis ses fesses et lui prodiguais le même supplice. Je dévorais, léchais, mordais, avalais tout ce que je pouvais. Nos deux corps s'agitaient violemment sur le lit. Je finis par avoir mon orgasme et le sien ne tarda pas non plus. J'étais détruite par tant de plaisir. Je somnolais un peu et regardais l'horloge. Il était déjà 2h du matin. La belle dormait. Cela faisait 4h que l'on était ensemble. Je me rhabillais et quittais sa chambre. Je me masturbais violemment avant de trouver le sommeil. Elle me paya le lendemain et me donna un superbe pourboire. - Je reviens dans quinze jours. Réserve ta soirée mon amour! » Il n'y avait personne dans les parages. On s'embrassa tendrement. Le soir de son départ, je fouillais dans les cartons que je n'avais pas encore défait, une cassette vidéo qu'une amie m'avait offerte, pensant me faire basculer dans le saphisme. Je l'avais regardé à l'époque et cela n'avais éveillé en moi qu'un léger frisson. C'était une cassette qu'elle avait faite avec une amie à elle. Bien quel soit marié, elle s'adonnait régulièrement au saphisme et je soupçonne son mari d'assister à ses séances. Je la trouvais. Je pris une bonne douche et nue dans mon canapé, je regardais la cassette. Je ressentais ce qu'elles éprouvaient maintenant et je me caressais comme une folle. Chaque fois que je fermais les yeux, je voyais mon amante de la veille. Les quinze jours me parurent une éternité. J'eus quelques aventures, mais je ne pensais plus qu'à ...