1. Une famille sans complexe. (3)


    Datte: 05/05/2019, Catégories: Gay

    ... sent qu’il ne va pas tarder à jouir et l’annonce. Julien se dégage prestement, se retourne et prend en bouche la verge de son père juste à temps pour recevoir sa liqueur. — Oh non, Julien, c’est… c’est sale. — Pourquoi ? Tu ne l’as jamais fait ? — Si, mais… — Mais quoi ? Tu ne me l’as pas mise dans la bouche, c’est moi qui l’ai fait tout seul et puis si Vanessa nettoie la bite d’un inconnu, je peux bien nettoyer la tienne. — Et notre repas ? T’as pas faim de nems et de porc au caramel ? — Pour l’instant, je m’occupe du caramel de ton rouleau de printemps… Marc décide de se laisser faire en priant pour que Corine ne soit pas fâché de ce qu’ils viennent de faire. Quand Julien estime que la bite de son père est propre il ne lui reste plus qu’une chose à essayer : embrasser Marc sur la bouche. Il se redresse approche ses lèvres de celles de son père ; elles se frôlent, se touchent, s’écartent et leurs langues se trouvent. Leur premier baiser en appelle un second puis un troisième. C’est comme une drogue dont il ne pourrait se passer ; ils s’embrassent, s’enlacent et se caressent pendant plus d’un quart d’heure avant de décider d’aller manger enfin. Après le repas, chacun est retourné à son travail et l’un comme l’autre s’oblige à un véritable supplice. Bien entendu, leurs cerveaux ne cessent de ressasser ce qu’ils ont fait ensemble et ce que Corine et Vanessa ont fait avec ces camionneurs. Tous deux ne cessent de bander mais ils s’interdisent toute masturbation et s’oblige à ...
    ... une concentration impossible afin de boucler le travail qu’ils s’étaient imposés pour la journée. Finalement, vers vingt heures, Marc entre dans la chambre de son fils. — Julien, mon amour, j’ai fini mon boulot pour aujourd’hui et je pensais nous préparer à diner. Il y a un truc qui te ferait envie ? — Papa, moi aussi j’ai presque fini, pour le diner j’n’ai pas d’idée mais de toute façon, quoi que tu fasses c’est toujours excellent. Par contre si tu me mets ton gros zizi poilu tout raide devant les yeux, je sais ce que je vais manger. — Mmm, c’est terrible, je n’ai pas débandé de l’après-midi. Avoue Marc en caressant sa queue. — Moi, c’est pareil ; ça a été assez dur de résister à l’envie de te retrouver ou de me branler. — Moi aussi, je n’ai pensé qu’à ça. — Tu veux me la remettre ou que je te suce ? — On ne sait toujours pas si Corine m’autorise… — Mais de quoi as-tu peur, elle ne va rien te faire. — Oh si, elle peut. Je ne sais pas si elle a emporté son martinet mais elle trouvera quelque chose mais elle pourrait aussi m’imposer la cage pendant une durée indéterminée… — La cage ? Qu’est-ce-que c’est ? — C’est une cage de chasteté pour homme ; la mienne est en inox et peut-être portée pendant des semaines et de mois. Corine l’a choisi volontairement trop petite pour moi. Bien sûr, en forçant un peu ça rentre mais si j’ai le malheur de bander, là ça fait très mal. En plus, ça m’oblige à faire pipi assis. — Je ne t’ai jamais vu avec ; comment ça se fait ? — Parce que c’est une ...
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