Une famille sans complexe. (3)
Datte: 05/05/2019,
Catégories:
Gay
... longue, lente et leur fait frôler l’infini. Julien accélère progressivement, il transpire, sourit ; il sent le plaisir de son père monter et le voit jouir de cette pénétration contre-nature. Lui même n’est plus très loin, il accélère le rythme de ses pénétration et finit par se répandre dans ses entrailles. Leur communion est parfaite et Marc jouit avec son fils juste en effleurant sa verge. Enivrés de plaisirs, ils s’enlacent, s’embrassent, et leur étreinte se prolonge pendant près d’une heure sans qu’aucun mot ne soit prononcé. Peu à peu, leurs sexes se redressent, se croisent comme deux épées d’égales longueurs et se trouvent coincés côte à côte entre leurs ventres soudés l’un à l’autre. Instinctivement, leurs bassins se mettent en mouvement et ils s’adonnent à une douce masturbation invisible entre leurs corps enlacés. — T’en veux encore ? Mon amour, demande finalement Julien à son père. — J’aimerai te rendre le bonheur que tu m’as donné et voir ton regard quand tu jouis. — Alors viens en moi, Papa, fait moi jouir, dit il en s’allongeant sur le dos. Leur deuxième étreinte n’a rien a envier à la première et Julien, qui avait déjà apprécié ses deux premières sodomies, est transporter par cette troisième. Les yeux de son père ne le quittent pas et chacun peut lire dans le regard de l’autre le plaisir qu’il ressent. Comme précédemment, leur orgasme est très intense et Julien éjacule sur son ventre lorsque Marc remplit son ventre. Marc se réveille de bonne heure, son fils ...
... couché près de lui ; il lui caresse les cheveux et l’embrasse tendrement. Il descend préparer du café et trouve un message de Corine sur son portable : « Tu me raconteras ta nuit ». Elle l’a envoyé la veille alors que Julien et lui montait se coucher. Il repense à sa nuit et à la force de leurs étreintes et se demande comment il pourra expliquer à sa femme qu’il est amoureux de leur fils. Le café passé, Marc en sert deux bols qu’il pose sur un petit plateau avec quelques viennoiseries. Lorsqu’il entre dans la chambre, l’odeur du café tire Julien de son sommeil. — Mmmm, Bonjour, mon Papou d’amour… Comme c’est gentil, un p’tit déj’ au lit. Tu me sers comme une Princesse. — Parce que tu le mérites, mon amour… Répond Marc en s’installant près de Julien. Inutile de te demander si tu as bien dormi, il est déjà presque 10 heures. — 10 heures, pas mal… Mais c’est tranquille, on est dimanche et je n’avais pas prévu de travailler ce matin. Et dis moi, qu’est-ce que tu m’a fait cette nuit ? Demande Julien en trempant un croissant dans son café. — Ça t’a réveillé ? Pardon, mon Cœur, j’ai pourtant eu l’impression que tu dormais tout le temps. — Mon Papou d’amour, quand un saucisson de près de 20 centimètres de long et d’au moins quatre centimètres d’épaisseur pénètre dans mon cul, je le sens ! Et même à 4 heures du matin si j’en crois ce qu’affichait le réveil. Mais c’était tellement bon de faire semblant de dormir… — Et bien, je me suis réveillé avec une érection terrible et, quand j’ai ...