1. Hélène et le garçon (3)


    Datte: 05/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... tout maintenant, on regardera ça ce soir ! » Nous filons vers les boutiques et je craque sur des chaussures à talons hauts. Puis, je veux une belle robe. Eric attend avec patience mes essayages et me conseille pour le choix. Bon, elle est relativement courte, mais ça me met en valeur a dit mon fils. J’en suis flattée. Et nous terminons par le magasin de lingerie. « Bon Eric, c’est toi qui paie ma chemise de nuit, d’accord ? » « Oui, maman, j’ai quelques économies et je veux te faire un beau cadeau » Il ajoute : « Si c’est moi qui paie, c’est moi qui choisis ! » Il m’époustoufle par sa proposition, mais j’accepte. Après de multiples essayages parce que trop petit de poitrine, trop transparent… Je trouve le modèle qui lui convient également. C’est un peu transparent, un peu court mais au moins je suis à l’aise. A chaque fois, Eric fait la navette pour procéder aux échanges et il met parfois un peu de temps à revenir. Bref, il paie et nous retournons au logement poser nos affaires. Je fais un peu de ménage alors que mon fils transfère les photos sur son ordinateur portable. Il me propose : « Viens maman, on va les regarder ensemble » Je m’essuie les mains et le rejoins sur le canapé. Les images défilent et je rie avec lui de me voir jouer la star, tout à coup, je me rends compte que les dernières photos sont sacrément osées , j’ai la poitrine offerte, les jambes écartées, on voit même ma culotte sur une ou deux. « Efface ça ! Si ton père tombe là-dessus ! » « Ne t’inquiète pas, ...
    ... c’est déjà fait sur l’appareil, et sur mon ordinateur, l’accès est protégé» « Oui, soit, mais enfin, je n’ai pas une bonne attitude là ! ». baibttvm « Mais si, bien sûr ! Tu es extrêmement belle et je voudrais garder ces photos pour nous deux seulement » Je le lui fais confirmer plusieurs fois qu’il n’y a pas de risques d’être vue ainsi par quiconque. Rassurée, je suis flattée du compliment qu’il vient de me faire, mais reste troublée par cette connivence qui s’installe entre nous. Cette duplicité me paraît un peu malsaine… Le soir tombe et un petit vent a refroidi l’atmosphère. Nous prenons notre douche à tour de rôle et quand je sors de la salle de bain en peignoir, Eric est habillé d’un pantalon et d’une chemise au lieu de son short et tee-shirt habituels. Je m’en étonne et il me répond : « Je t’emmène au restaurant ce soir, et pour que tu sois encore plus belle, tiens ! » Un peu tremblant, il sort d’un sac, une boîte en carton que j’ouvre, étonnée. J’ai un choc en découvrant une guêpière noire, un peu rétro, avec beaucoup de jarretelles, six j’en compte. Mais surtout les bonnets en forme de cônes pointus style année soixante. « C’est très gentil, chéri, mais … je ne me vois pas mettre ça ! » « Papa aimera beaucoup » « Oh tu sais, ton père ... ». Ca m’a échappé et ça me gène brutalement de lui révéler mon malaise conjugal. Il me remonte à l’esprit que Pierre est peut-être en train de s’envoyer sa secrétaire en ce moment. « Alors, tu le portes ce soir pour sortir, je veux ...