Une rencontre fortuite (1)
Datte: 23/08/2017,
Catégories:
Lesbienne
... masturbation reprit de plus belle et un nouvel orgasme me terrassa. Le reste de la nuit fut heureusement plus calme et je m’endormis, sereine. Le lendemain, encore émue par la situation, je décidais de me rendre à nouveau sur la même plage. Je poussais le vice à porter son string sous ma robe pour établir une forme de communion entre nous. Hélas, mes attentes ne furent pas couronnées de succès, et c’est en vain que je m’y rendis tous les matins de la semaine, guettant l’arrivée de cette inconnue qui m’empêchait de trouver le sommeil. C’est alors que, me promenant en ville pour y faire quelques emplettes, je la vis attablée, seule, à la terrasse d’un restaurant. Je sentis mon ventre s’enflammer. Je courrais déposer mes courses dans la voiture pour revenir à vive allure vers le restaurant, où, oh joie, la belle ne faisait que débuter son repas. Ni une ni deux, je choisis une table me permettant de l’observer en restant discrète. Sa nuque et ses épaules dénudées me fascinaient, et je ne fis que grignoter tant le moment accaparait tous mes sens. Soudain, elle se leva et vint vers moi. Tétanisée, je cherchais vainement une excuse pour expliquer ma présence, mais elle se dirigeait en fait vers les toilettes situées juste derrière ma table. Autre charme des tropiques, le restaurant était une case en bois avec des cloisons ultra fines. C’est pourquoi, sans avoir besoin de tendre l’oreille j’entendis le bruit de la miction de la jeune femme. Mon sang ne fit qu’un tour. Avoir ...
... surpris une tel moment d’intimité m’avait amenée à un bel état d’excitation. J’avais toujours sa culotte dans mon sac au cas où je la rencontrerais. Une idée perverse me vint à l’esprit, je la sortis de mon sac pour la laisser choir discrètement près de ma table. A sa sortie, la jeune femme me frôla, puis s’arrêta pour ramasser mon « appât ». Elle se tourna vers moi pour me le tendre tout en prenant conscience que ce qu’elle tenait n’était pas un mouchoir, mais bel et bien un sous-vêtement. Je la vis rougir en balbutiant quelques mots ne sachant pas quelle posture adopter. — Bonjour, me dit-elle décontenancée, je crois que c’est à vous… — En effet, mais depuis peu. Merci beaucoup — De rien, dit-elle en regagnant sa place plus gênée que jamais. Je l’observais de trois-quart dos et je la voyais mal à l’aise sur son siège, jetant de temps à autres un regard discret dans ma direction. Mon stratagème avait fonctionné, j’avais au moins suscité son intérêt pour ma personne, et cet aspect des choses me réjouissais. Mon repas arrivait à son terme, et le sien était fini depuis longtemps, mais elle ne se décidait pas à quitter le restaurant. Je me levais alors, en m’approchant d’elle, et je déposais la culotte discrètement sur sa table. — Je crois qu’elle vous appartient, je l’ai trouvée l’autre jour sur la plage après votre départ. Elle resta interdite, rouge comme une pivoine. — Merci, finit-elle par articuler. — Je trouve que vous avez très bon goût en matière de dessous. Elle doit être ...