1. Une rencontre fortuite (1)


    Datte: 23/08/2017, Catégories: Lesbienne

    ... bouche, les seins de Véronique m’obsédaient lorsque le souvenir du bruit qu’elle fit dans les toilettes du restaurant me provoqua presque un orgasme. Je m’imaginais me caressant en l’observant pendant qu’elle faisait pipi debout. Je lâchais alors ma vessie par petits jets pendant que mes doigts pinçaient mon bouton le plus fort possible. Un plaisir indicible m’envahissait. Je passais ma main libre sous le jet doré en imaginant que c’était celui de Véronique. Lorsque je portais les doigts à ma bouche, un orgasme si puissant me terrassa que je m’écroulais dans la douche, tétanisée par tant de plaisir. Je mis de longues minutes à reprendre mes esprits. Je ne me reconnaissais plus moi-même. Comment une femme quasi inconnue pouvait-elle me faire un tel effet. Mes expériences avec Corinne, venaient d’un désir profond après plusieurs années d’amitié et un rapprochement graduel. Là, la situation m’échappait. Véronique m’avait littéralement envoûtée et il fallut que je pense à mon mari pour que son image s’estompe. Le lendemain, mon coeur bondit quand véronique m’appela. Elle souhaitait m’inviter chez elle à déjeuner en tête à tête. Je passais la fin de la matinée à me préparer, sans oublier de mettre une culotte, ayant trop peur de me trahir si d’aventure, je n’arrivais pas à me maîtriser. Je portais une robe cintrée, décolletée mais assez ample avec un dos nu, ce qui m’a obligée à ne pas porte de soutien-gorge. Mes seins étant menus, ça ne m’a pas posé de problème. Lorsque ...
    ... j’arrivais chez elle, elle m’accueillit avec un sourire à damner tous les saints. Elle était revêtue d’une robe mousseline blanche, qui aurait été virginale, si son décolleté n’avait pas mis en valeur une poitrine qui me semblait libre de toute entrave. - Bonjour, Claire, fit-elle en m’embrassant chaleureusement sur les joues. Tu es magnifique, et ta robe te va à ravir. - Merci, tu n’es pas mal non plus, répondis-je en rougissant comme une adolescente. En pénétrant sur la terrasse je sentais son regard me scruter faisant naître un émoi familier en sa présence. Nous assîmes face à face dans des fauteuils bas qui faisaient que les genoux étaient au niveau de nos regards. En sirotant un planteur, je l’observais, buvant ses paroles. Sa robe était remontée sur ses cuisses bronzées, et de temps à, autres je discernais ce qui devait être son dernier rempart. La position était avantageuse, et d’un coup, je pris conscience qu’elle devait avoir la même vue que moi… La discussion animée portait sur la difficulté de faire des rencontres sur l’île. Nous étions ravies l’une comme l’autre de nous être trouvées et notre complicité se confirmait au fil des minutes. Sa beauté irradiait l’atmosphère, qui si elle était détendue, n’en était pas moins chargée d’érotisme. J’entrepris d’écarter légèrement les cuisses pour observer sa réaction, mais elle fit mine de ne pas y prêter attention à mon grand désespoir. Ses rires fréquents faisaient se soulever sa poitrine, plus imposante que la mienne mais encore ...
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