Le sevrage de Lola (2)
Datte: 06/05/2019,
Catégories:
Erotique,
... sueur, et essoufflé. Un temps passa ou la pièce fut silencieuse, à part les gémissement de Lola, les yeux révulsés, qui continuait de se donner du plaisir. Annabelle se releva lentement, et se rhabilla. Laissant sa blouse hors d’usage de côté. Elle essuya les traînées de semence qui coulaient entre ses cuisses avec sa culotte avant de la jeter sur le sol et de réajuster sa jupe, retrouvant une allure professionnelle. — Je t’ai toujours dis que tu rechuterais Antoine. Comment tu peux espérer sevrer cette fille alors que tu n’es même pas sevré toi même ?! Je te l’ai toujours dis et tu as voulu en faire qu’à ta tête. Résultat, te voilà revenu au point de départ, et cette fille aussi. Alors qu’Annabelle parlait, Lola s’approcha d’Antoine pour se blottir contre lui, sur le lit. Elle continuait à se caresser. Il ne réagit pas, les yeux à demi ouverts il écoutait Annabelle le sermonner. Annabelle. Elle s’était occupée de lui si longtemps. Il se souvenait d’avoir été enfermé dans son garage, des semaines durant, une chaîne au pied. Au sevrage de ses propres envies sexuelles. wqkwbbyo — J’ai laissé faire quand tu as voulu t’occuper de cette fille. Mais tu as arrêté de venir me voir avant que ton sevrage soit terminé… Et aujourd’hui quand j’ai vu que tu n’arrivais pas au travail j’ai tout de suite compris. Tu as rechuté. Tu as de la chance que j’ai gardé la clé de chez toi. Et qu’est-ce que tu aurais fais si je n’étais pas venue ? Tu aurais continué à baiser cette pauvre créature ...
... toute ta vie ? Sans manger ? Sans voir personne ? Il faut réagir. J’ai toujours éviter d’en arriver là, mais cette fois c’est trop tard. Je vais appeler l’hôpital et il vous internerons, tous les deux. Pour vous soigner. Antoine se redressa tant bien que mal, affolé par les dernières paroles d’Annabelle. — Non tu ne peux pas ! — Je peux, et je le ferai. C’est pour votre bien. Je ne peux pas vous laisser comme ça…Pas toi. -Arrête, fit-il, alors qu’il la voyait sortir son téléphone portable de sa poche. Je te donnerai ce que tu veux ! -Tu ne comprends pas, je vais le faire quoi qu’il arrive. Pas par gaieté de cœur, mais parce qu’il le faut. Annabelle composa le numéro, Antoine était désemparé. -Bonjour, service psychiatrique ? Docteur Anna… Avant qu’elle n’ai pu terminer sa phrase, un choc sourd retenti. Annabelle s’écroula au sol, son crâne tâché de sang. Lola venait d’abattre la gigantesque lampe de chevet du docteur sur le crâne de la brune. Lola regarda ses mains, surprise de la violence de son propre geste. -Je…Je ne voulais pas qu’on soit séparés, dit-elle en regardant Antoine. Celui-ci ne dit rien. Il attrapa le téléphone de sa collègue et l’éteignit avant de l’écraser d’un coup de talon. Il inspira longuement puis il pris le pouls de la brune et constata avec sans surprise qu’elle était morte, le crâne éclaté par le choc. Une tâche de sang s’étendait sur le sol. -Va t’habiller et chercher quelques affaires. On doit se casser, dit Antoine à Lola, essayant de conserver son ...