1. 46.12 Suce !


    Datte: 07/05/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... jamais… et que si j’insiste encore un peu, ça va me retomber dessus méchamment… pourtant, je ne peux pas m’en empêcher… Sa seule réponse sera le silence… ainsi qu’un mouvement du bassin vers l’avant, jusqu’à que sa queue se presse à l’entrée de mes lèvres, jusqu’à qu’elle s’enfonce bien au fond de la gorge, ma tête fermement retenue par l’une de ses mains… Et là il recommence presque instantanément à mettre de bons coups de reins… C’est pendant qu’il me défonce la bouche avec son manche que je l’entends me balancer… « Oui, ça ma plu de le baiser… mais t'inquiète… j'ai mis une capote… ». Salopard, petit con… on ne peut pas dire qu’il n’ait pas le sens de la réplique… ça aussi il avait bien enregistré… petit con, va… Ses coups de reins se font de plus en plus rapides, m’empêchant de me dégager… c’est donc ça sa technique, se servir de sa queue pour faire taire la bouche qui s’aventure en terrain glissant… Mais peu importe… je suis à genoux devant lui, ma bouche remplie et secouée par sa fougue masculine… à cet instant précis je n’ai plus envie de rien d’autre que de me laisser étouffer par sa queue… envie qu’il jouisse ainsi, en me baisant sauvagement la bouche… Pourtant, ses coups de reins finissent par se calmer, jusqu’à s’arrêter… c’était tellement bon que je regrette que ce soit fini… tellement bon que je regrette de ne pas l’avoir cherché davantage… tellement bon que j’ai bien envie de le provoquer à nouveau pour retrouver ses assauts… Pourtant, lorsque j’entrevois dans ce ...
    ... moment de répit la chance de m’occuper comme il faut de ce manche tendu… je renonce à toute velléité de provoc’ inutile, me contentant d’envoyer ma langue s’enrouler autour de son gland, et autorisant mes lèvres à reprendre à glisser sur son manche. Je me lance dans ma mission avec une application totale, dégustant chaque centimètre de son sexe… Hélés, je n’aurai pas le loisir de m’y appliquer très longtemps. Un instant plus tard, les mains de mon beau brun se posent sur mes épaules m’obligeant à reculer mon buste, ma tête, ma bouche… je perds le contact avec sa queue… et je me sens immédiatement vidé, abandonné… Le vent est frais, ça donne envie de rentrer. C’est ainsi que je finis par interpréter son geste lorsque je le vois se diriger vers la porte fenêtre, rentrer, se débarrasser à nouveau de son t-shirt et de son boxer et s’allonger sur le lit, accoudé, comme je l’aime… Quoi faire devant cette attitude, devant cet ordre silencieux mais tellement puissant, inéluctable ? Obtempérer… c’est ça l’autorité… obtenir sans même avoir besoin de demander… Un instant plus tard, je grimpe sur le lit me faufilant entre ses jambes musclées, un brin poilues et légèrement écartées… mon buste se plie comme aimanté par le centre de son corps… ma bouche se pose avec bonheur sur son gland et je recommence à le pomper… je le suce comme si ma vie en dépendait, comme si ça faisait des années que je ne l’avais pas sucé, comme si c’était la dernière fois que je le suce de ma vie… Je vois du coin ...
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