La chute éperdue
Datte: 07/05/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
Oral
pénétratio,
init,
... Brûlant de désir, elle se mit à lécher de plus en plus avidement le gland salé et enflé, puis saisit carrément la queue de sa main droite pour mieux la diriger dans sa bouche, poussant la main de Max. Elle se sentait carrément perdre la tête. Elle n’était plus qu’un fétu de paille se consumant d’amour et de plaisir… Il s’accroupit pour approcher la queue de la bouche, et Marie la goba entre ses lèvres impatientes. Elle fit aller et venir le gros gland contre son palais, appréciant la fermeté et la dureté du membre. Pantelant, Max la laissait faire, un air extatique sur le visage. – Continue… balbutia-t-il. C’est si bon, Marie… Oh oui… Naturellement, sans aucune aide de sa part, elle suçait son sexe comme une professionnelle, secouant le gland bandé contre la douceur humide de sa langue, la pointe le léchant adroitement. Max transpirait abondamment. – Tu aimes ça ? demanda-t-il d’une voix faible, curieux. – Oui… murmura-t-elle. – Le goût te plait… ? – Oui… c’est bon… Et elle reprit son travail de pompe, tirant, suçant, léchant la queue avec tellement d’application et de réussite que Maxime se sentit bander si fort qu’il eut peur d’exploser sur elle. La fellation fut lente mais délicieuse. Et quand il se sentit gonflé à en éclater, il sortit son sexe de la bouche brûlante de Marie, et revint s’installer entre ses jambes. Ses doigts reprirent le chemin de sa chatte, et la trouvèrent si ouverte qu’un courant d’excitation traversa l’échine du jeune homme. Là aussi c’était brûlant. ...
... Max ôta alors le slip de Marie, et lui écarta à nouveau les jambes, enfonçant doucement ses doigts dans sa fente humide pour la préparer à la pénétration. Puis il s’allongea sur elle. Elle suait, criait, elle perdait lentement la raison, submergée de volupté. Il donna une rapide caresse sur sa queue, la mouilla avec sa salive, puis reprit son branlage d’une main, branlant Marie de l’autre main. Tout cela d’une main de maître. Marie roulait des hanches, suppliant, appelant. Cette fois, il lui donnerait ce qu’elle voulait. Il dirigea sa queue entre les cuisses chaudes de Marie. Puis il retira ses doigts de sa chatte trempée de désir, et cala son gland contre l’ouverture, les bords du sexe ouverts par ses doigts. Le gland s’enfonçait déjà, sans aucune pression de sa part. — Tu es sûre de toi ? haleta-t-il.— Oui ! cria-t-elle, déchirée de plaisir. Une seconde, le sexe de Marie fut vide. Elle ouvrit les yeux et regarda Maxime, protestant par un cri rauque. La seconde d’après, alors qu’elle regardait le jeune homme jusqu’au fond des yeux, il enfonça son membre dressé entre ses cuisses, pénétrant Marie d’un coup de reins souple, énergique. Elle eut un cri étouffé et étonné. Il se retira tout de suite. Marie n’avait pas eu mal, tant sa fente rouge était liquéfiée par le désir. Cependant, il n’avait pas enfoncé sa bite assez loin. Le sang cognait à ses tempes. Il respirait si mal que son cœur battait irrégulièrement. Pressée de jouissance, sa bite palpitait contre le ventre de Marie. ...