1. La chute éperdue


    Datte: 07/05/2019, Catégories: fh, hplusag, jeunes, Oral pénétratio, init,

    ... épaules puissantes et bronzées à peine recouvertes de la serviette qu’il avait négligemment passée autour de sa nuque. Son torse musclé et nu attirait l’œil de Marie d’une manière irrésistible. Elle avait envie de glisser ses doigts dans la fine fourrure blonde qui courait de ses pectoraux à son ventre. Les yeux bleus de Max s’allumèrent d’un feu étrange. – Jamais vu une fille me courir après de cette façon-là, commenta-t-il d’une voix douce. Mais Marie n’en eut cure. Elle avait deviné, fine mouche, qu’il se trouvait des excuses pour justifier le propre désir qu’il avait d’elle. Et il l’embrassa à nouveau. Sa bouche était chaude, gourmande. Marie, oubliant sa tenue, sa robe qui la moulait comme une seconde peau et qui laissait tout voir de ses seins libres, le serra contre elle, éperdue. Elle glissa ses doigts dans les cheveux dorés de Maxime. Elle ne pensait qu’à une chose, Maxime et elle étaient seuls, dans cette chambre, et de toute évidence, le jeune homme n’avait pas résisté longtemps à la tentation… cela voulait certainement dire qu’il l’aimait, oui, qu’il l’aimait. Il jetait au feu toutes ses bonnes résolutions la concernant elle, Marie, une simple jeune fille de dix-huit ans, parce qu’il l’aimait… l’amour était plus fort que tout. Une seconde, elle pensa à Naïma. À ses ébats sexuels, à ses orgasmes, peut-être. Une vague d’excitation partit de son ventre, se répandit dans son corps. Elle eut un gémissement. Il délaissa sa bouche, se redressa et contempla ses yeux ...
    ... emplis d’étoiles. – Est-ce que tu as vraiment envie de faire l’amour avec moi Marie ? chuchota-t-il sérieusement. J’ai vingt-neuf ans, et toi dix-huit… – C’est toi que je veux, répondit Marie d’un ton qui n’admettait pas de réplique. Le sang de Maxime s’échauffa devant la détermination farouche de Marie. – Maintenant ? insista-t-il. Marie ne dit rien. Elle se contenta de le regarder entre ses cils. Son mascara avait coulé, et lui faisait des yeux de charbon. Leur bleu contrastait avec la blancheur de son teint. Ils brillaient d’amour et de désir. — Que tu es belle… s’extasia-t-il. Marie, la gorge serrée, le regarda à nouveau s’approcher, son cœur battant la chamade, ses mains devenant moites. — Tu as peur ? demanda-t-il d’une voix rauque. – Oui, j’ai peur, dit-elle enfin à voix basse. – N’aie pas peur, petite Marie… je vais essayer de ne pas te faire mal… Il la saisit par les épaules et l’attira contre lui, posant sa bouche sur la sienne. Elle ouvrit aussitôt les lèvres pour sentir le goût de sa langue humide dans sa bouche. Ils s’embrassèrent profondément, goulûment. Pendant ce temps, Maxime avait glissé sa main sous les serviettes, qu’il écarta, puis sur le collant mouillé de la jeune fille, sous la robe. Les doigts remontèrent le long de sa cuisse, puis, à travers le collant et la culotte, frottèrent fort son entrejambe. – Qui aurait cru que sous ton apparence si vertueuse, tu n’étais qu’une petite vicieuse… plaisanta Maxime contre la bouche offerte de Marie, qui rouvrit les ...
«12...789...13»