Visite médicale d'incorporation (1)
Datte: 08/05/2019,
Catégories:
Gay
... m’a fait mettre à quatre pattes, et s’est accroupi pour me lécher la raie puis l’anus. Il écartait mes fesses, avec ses mains et cherchait à rentrer sa langue. J’étais tellement excité que j’ai joui sans me toucher. Il m’a proposé de recommencer et j’étais bien sûr d’accord. » « Mais la seconde fois, il a voulu m’enculer, et là j’étais moins enthousiaste car ça faisait mal. Mais avec de la patience, il m’habitua et au bout d’un mois, j’y prenais du plaisir. Il me présenta alors à ses copains. Trois d’entre eux étaient des enculeurs, mais le dernier, le plus « macho » de tous, ne cherchait qu’à se faire baiser. J’y prenais d’autant plus de plaisir qu’il avait été bien « élargi » par ses potes. Mais j’allais avoir vingt ans, et je voulais bouger un peu et suis parti rejoindre l’armée. Tu sais tout de mon histoire. » « Bon, je vais aller voir le commandant. Rendez vous demain matin à 8h à la salle où je fais passer mes visites » J’étais assez confiant en allant voir le commandant. La quarantaine, et très sportif. Très souvent au gymnase pour s’entrainer, n’hésitant pas à aider les autres soldats, avec des mains un peu baladeuses. Et, un jour, il invita un autre soldat à un combat de judo. Il l’immobilisa très vite à plat ventre en dessous de lui, et je vis, au mouvement de ses fesses qu’il frottait sa bite contre la raie du cul du soldat. Quand il se releva, nos regards se croisèrent par hasard et nous échangeâmes un léger sourire. Il avait compris que j’avais deviné son ...
... petit manège. Bien sûr, en tant que commandant, il se devait à une grande réserve et n’avait jamais de « gestes déplacés ». Mais aller lui demander un second, pour que deux mecs habillés en examinent un troisième à poil était une idée qui ne devait pas lui déplaire. Et, effectivement, j’eus immédiatement son accord. Le soir venu, j’allai dans ma salle de visites. Il y avait mon bureau, au milieu, et dans un coin de la salle, un bureau plus petit que je plaçais perpendiculairement au mien, les deux bureaux formant un « L ». A 1,50 m du petit bureau, je dessinai au sol la marque de deux pieds, écartés d’environ 1m. Tout était fin prêt. Le lendemain matin, je fis mes recommandations de prudence à Michel. Il devrait rester assis derrière le petit bureau, noter les commentaires que je lui dicterai et se contenter de regarder. En le menant à son bureau, je ne pus résister à la tentation de lui passer la main aux fesses. Il se retourna en souriant, passa derrière moi, et me rendit la pareille, mais en appuyant fortement avec le côté de sa main le long de ma raie des fesses. La matinée commençait bien. Notre premier « client » était d’un physique banal. Je le fis mettre en slip, se peser et passer sous la toise. Puis, en lui demandant d’ôter son slip, je lui demandai d’approcher et commençai le côté ennuyeux de l’examen : bouche, oreilles, gorges, ganglions sous les bras.. Arriva enfin la partie intéressante. Je le plaçais face à Michel et lui tâtai ( pelotai serait plus exact ) les ...