Le lit
Datte: 08/05/2019,
Catégories:
f,
ff,
fhh,
ffh,
frousses,
couplus,
extracon,
voisins,
Collègues / Travail
cérébral,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
double,
fsodo,
jouet,
sorcelleri,
fantastiq,
... devrais tout me faire tout seul. Simon ne vit aucun double sens dans cette affirmation mais Pierre et Valérie pensèrent immédiatement à ce lit qu’il allait falloir démonter et transporter. Les différents formulaires étaient préremplis par l’ordinateur et il ne fallut vraiment que le temps de boire un expresso avant que le trio ne ressorte du bureau. L’humeur de Valérie à l’égard de Simon avait déjà changé. Pendant que Pierre se concentrait sur la lecture des différents papiers qu’elle lui tendait Simon faisait la conversation. Il avait importé à Paris ses manières occitanes, un peu rudes mais aimables et chantantes. Valérie s’était blottie derrière son bureau quand ils étaient entrés, mais s’était vite décoincée devant la jovialité turbulente de Simon. C’est ainsi qu’elle en avait oublié en se rasseyant après avoir servi le café de lisser sa robe et de serrer ses jambes. Pendant qu’elle se tournait pour prendre une énième feuille sortant de son copieur, son bracelet avait accroché la jupe et un instant Simon avait pu distinguer la jarretière du bas. Il ne perdit pas une occasion de confirmer ce détail qui l’avait enchanté. Ce fut chose faite quelques secondes plus tard quand Valérie croisa les jambes assez haut. Au travers de la plaque de verre qui constituait le bureau de Valérie, Simon put clairement voir de nouveau la jarretière mais aussi la langue de peau qui séparait celle-ci de la fesse. Il croisa le regard de Valérie en levant les yeux. Il avait perdu le fil de ...
... l’histoire qu’il était en train de raconter. Pierre lui lança : — Et bien, tu t’arrêtes enfin. Simon avait copieusement révélé leurs frasques d’étudiants. — C’est ma voisine. Imagine qu’elle raconte tout à Émilie !— Même si elle ne sait pas tout cela, il n’y rien pour choquer Émilie dans ce qu’a raconté Simon.— Il n’y pas encore de quoi choquer la petite. Mais je ne sais pas jusqu’où toi, tu es prête à entendre, répliqua Simon en tentant de retrouver une contenance. Valérie tendit une dernière feuille à Pierre qui lui remit le chèque de paiement. Elle prit le chèque, l’accrocha au trombone sur la liasse des documents précédents et plongea de nouveau les yeux dans ceux de Simon. — Je ne suis pas une oie blanche, dit-elle en décroisant lentement ses jambes, sans retenir sa jupe cette fois. Tu peux y aller. Avant qu’elle ne serre de nouveau les jambes et qu’elle ne les couvre de sa jupe, Simon avait pu clairement constater le V roux de son entrejambe. Pierre marqua un temps d’arrêt. Il n’était pas sûr, lui, de ce qu’il avait vu. Il signa la feuille, semblable aux précédentes, et se leva. — Et bien allons-y alors ! Il avait dit cela sur un ton sec, et Valérie se demanda un instant s’ils allaient la prendre là, dans ce bureau.Je verrai bien si Simon porte une marque de naissance sous le nombril, alors. Elle se leva aussi, enchantée par cette perspective, mais Pierre lui tourna le dos et sortit vers la grande salle. Simon lança un dernier sourire, un peu ennuyé, et suivit son ami. Le ...