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Le lit
Datte: 08/05/2019, Catégories: f, ff, fhh, ffh, frousses, couplus, extracon, voisins, Collègues / Travail cérébral, noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, double, fsodo, jouet, sorcelleri, fantastiq,
... s’estompa, le couple disparut. La voix de Françoise ramena Valérie sur terre. — Bien sûr, ma chérie. Il faut absolument passer. Bye… Valérie se réajusta, glissa son string sous les oreillers qu’elle replaça correctement puis retourna vers sa patronne. — Bonjour Françoise. Ça a été hier soir ? demanda-t-elle innocemment. La journée se passa sans autres anicroches pour Valérie, qui évita soigneusement de se présenter de nouveau devant le lit qui lui faisait perdre tous ses moyens. Elle profita de toutes les occasions qui se présentaient pour sortir de la galerie et aller se promener à l’extérieur. Quand elle ne pouvait pas échapper à une incursion dans l’antre de présentation des meubles, elle s’amusait à observer les réactions des gens. Certains semblaient capter l’étrange pouvoir dés leur entrée dans la salle alors que d’autres sursautaient au contact du bois. Pourtant tous les sens s’échauffaient. Elle surprit pendant cette journée un couple qui était allé se cacher derrière une grande armoire pour passer cette brusque envie qui les avait envahis, et une bonne amie de Françoise, pourtant mariée et très croyante, qui avait profité de l’isolement des toilettes pour s’y faire lutiner pour un quidam. Quand arrivèrent six heures, Françoise la prévint qu’elle devait partir. Elle lui fit mille recommandations sur la fermeture des portes et l’enclenchement du système d’alarme. Valérie ne comprenait pas ce comportement. Elle avait souvent quitté après sa patronne et elle n’avait ...
... jamais failli à protéger le magasin. Elle laissa Françoise répéter sans cesse sa litanie en évitant toute contradiction qui risquerait de prolonger le discours. — Et n’oubliez pas de mettre l’alarme !— Non Françoise. Ne vous souciez pas. C’est noté. La porte claqua. Seul resta le tintement des clochettes à la porte qui s’éteignit dans le silence nocturne du magasin. Valérie ne pensait pas au lit. Elle faisait le bilan de ses visites des dernières semaines. Complètement absorbée par son travail elle en oublia l’heure, jusqu’à ce que le raclement de la porte et le tintement lui indique l’arrivée de nouveaux clients. Elle leva les yeux vers l’horloge au-dessus de son bureau. Il était bientôt sept heures. — Bonjour, il y a quelqu’un ? C’était la voix d’Émilie. — Oui, oui. Je suis dans le bureau. J’arrive de suite. Valérie enregistra son travail et rejoignit ses voisins dans l’entrée. — Bonsoir.— Bonsoir, désolés de ne pas être venu plus tôt. On ne te dérange pas ?— Non c’est bon. J’étais perdue dans un tas de papiers et je n’ai pas vu l’heure tourner. On fait le tour du magasin ?— Bien sûr, si tu as le temps.— Alors suivez-moi. Elle les précéda dans la grande salle dont elle remonta l’intensité de l’éclairage. Elle guettait leur réaction. Ils ne semblèrent pas ressentir le battement qui, une nouvelle fois, émanait du lit. Elle les guida dans un premier temps autour de la pièce afin de leur montrer quelques commodes et quelques armoires. Elle sentait la tension monter. La pulsation ...