1. Parcours d'une initiation (partie 1)


    Datte: 09/05/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... brigadier ecrit des choses. - reposez les mains sur le capot et ne bougez pas!! sinon je devrais vous menoter dit-il séchement en reposant ses mains directement sur mes deux seins les palpe allégrement. - mais non ce n'est pas vrai je vous jure je cache rien mr! - et bien on verra ca pendant la fouille appronfondie avec le docteur ; bon allez on l'embarque au commissariat, on y verra plus clair la bas ce qu'on va faire de ton cas" dit-il me la lachant les seins et me prenant brutalement les bras pour me les menotter dans le dos. Attachee mains dans le dos, je suis emmenee dans la voiture des policiers alors que la celle de mes parents reste là porte ouverte clef sur le contact ajoutant à mon angoisse. - mais vous ne pouvez pas laisser la voiture comme ca quelqu'un va la voler je dis betement - vous voulez que le brigadier rajoute corruption??? vous croyez qu'on veut voler votre voiture? il répond menacant alors que la voiture démarre toutes sirenes hurlantes comme si j'etais une criminelle. - mais non pardon mr je voulais pas dire ca. Je me retrouve comme ca, comme une criminelle accusee de trafic de drogue dans une voiture de police mains dans le dos menottées...je ne comprend pas comment j'ai pu en arriver la. Je cogite dans la voiture pensant que tout ca est un cauchemard...Je les entend parler tous les deux sans que je n'ose rien dire. "- ahh putain elle va morfler avec le chef chavard. il aime pas les trafficant de drogue (ohhh non non ils disent pas ca pour moi. ca peut ...
    ... pas etre pour moi...) il parait que le juge en comparution immédiate c'est le juge prevost.. celui qui est severe la,??? ohh putain elle va en baver!!! En plus elle a un avocat commis d'office". Je me sens perdue, condamnée davance alors que je n'ai rien fait et ne peux rien faire. Les dix minutes séparant l'endroit de l'interpelation du commissariat paraissent une eternité... la voiture se gare... le policier vient ouvrir la porte de derrière et me tire par le bras, presque la main entre mon bras et le sein...Mais je ne peux quand meme pas dire au policier hhhhhééééé ne me touchez pas les seins, après tout il fait son boulot. Ils me font monter des escaliers en faisnt des petits pas tirée par le bras toujours. Je fais des ahhh des ohhhh chaque fois que ca te tire sur les menotes ou sur le bras montrant que suis fragile, frele, bref une fille, une jeune fille bien élevée. Ils devraient voir que je n'ai pas le profil de la delinquante. Le policier me retient chaque fois l'air de rien imposant sa puissance a coté de moi, me tirant à travers le commissariat. Je vois les yeux qui se tournent vers moi. Les 5 ou 6 policiers présents dans les bureaux sortent pour nous suivre. Le policier frappe à la porte du commissaire me tenant toujours. "- c'est la jeune fille dont je vous ai parlé au telephone, dit-il au commissaire qui se leve fronce les sourcis et me regarde d'un air severe. - vous m'en avez amenée une belle cette fois ci! s'adressant aux deux gendarmes ; bravo.... bravo. bon ...
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