1. Initiation brutale (4)


    Datte: 09/05/2019, Catégories: Gay

    ... salope Une tape sur la nuque et je prends en bouche la première queue, je lèche le gros gland violacé mais le type me bloque la nuque et pousse sa queue presque à m’étouffer. Je le pompe, creusant mes joues, quelle étrange impression de sentir ce serpent de chair grossir dans ma bouche. qniqddrc Au bout d’un moment je le sens tendu à mort et il me repousse brutalement. L’autre prend sa place et s’enfonce d’un coup au fond de ma gorge tout en donnant des coups de reins ; je pose mes mains sur ses cuisses musclées pour me retenir et le pomper a fond. Je sens une présence, le barbu est derrière moi et ses grosses mains s’emparent de mes tétons, il les pince fort et la queue étouffe mes gémissements mais, malgré moi, cette caresse brutale me fait cambrer. — Hé les gars, cette petite pute aime le travail des nichons Il me torture les seins et ça me fait pomper encore plus... Je sens qu’il se colle à moi et d’un coup, deux doigts m’envahissent. C’est brutal mais je suis fermement maintenu, nuque bloquée, et bâillonné par la queue qui maintenant a envahi ma bouche et me distend les lèvres, et l’autre derrière qui empêche tout recul. Une barre raide et au bout rêche me parcourt la fente des fesses, il s’est dénudé et son gros sexe vient se poser sur mon petit trou encore ouvert. Les prises s’affirment et je sens qu’il commence à pousser, malgré moi je me cambre complètement subjugué. ...
    ... Gémissements étouffés, il rentre déjà son gros gland et continue de pousser, je suis ouvert en deux par sa grosse queue et je la sens, bouillante et dur au fond de moi. Après quelques secondes de pause, la douleur s’estompe, le salaud sait y faire, et il commence des va-et-vient avec de puissants coups de reins, lents mais forts qui me font perdre la tête, il pousse, pousse et je sens ses grosses couilles poilues taper contre mes petites fesses, je perds la notion du temps. Au bout d’une éternité, les mains de celui que je suce me bloquent fermement la nuque, un grand cri et il m’étouffe avec de longues giclées de son jus bouillant, je sens les soubresauts de sa queue... Je reprends à peine mon souffle que les grosses mains de l’autre me pincent violemment les tétons et que lui aussi dans un grand cri jouit dans mon cul, me remplit de liquide bouillant avec des coups de reins qui ne me ménagent plus et pousse ma tête entre les jambes de l’autre, ils m’ont rempli et se sont vidés à fond. Je n’en peux plus, ils me repoussent et je reste à genoux, la tête sur le canapé, sans force comme une femelle comblée. — Quelle salope, elle est bonne, je crois qu’on va bien s’amuser. — "Marcel (celui qui n’a pas encore joui) profites en, on sait ce que tu aimes, on va t’aider..." J’entends ces paroles dans un semi-brouillard j’ai joui aussi et je me sens très femelle et salope, un jouet sexuel consentant... 
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