51.2 Le t-shirt de Thibault
Datte: 10/05/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... autant être là pour compter les points et essayer de me tailler au moins un rôle de figurant… VO [A cause d’une nuit de plaisir, tu risques de perdre à la fois Jérém et Thibault…]. De toute façon, l’histoire avec Jérém m’est comptée… alors, tout est bon à prendre… et puis… c’est lui qui a lancé tout ça… il doit bien savoir ce qu’il fait… moi, je ne fais que suivre… quant à Thibault… lui aussi il doit savoir ce qu’il fait… VO [Nico…] De toute façon… quand je vais les voir sur le canapé… je ne vais pas pouvoir résister à la tentation de sucer Jérém… VO [Et de sucer Thibault…]. Grave… VO [Essaie un instant d’imaginer le genre de gueule de bois que tout ça peut donner au réveil…]. Je m’en fiche… cette nuit, je choisis de n’écouter que l’envie primaire du désir… tous mes sens sont en émoi… il y a cette impression de planer… il y a cette brise fraîche sur ma peau, ce vent d’Autan qui faiblit dans la nuit mais qui ne cesse pas pour autant… il y a l’enchantement des assauts olfactifs des deux potes… la vision de leurs plastiques à pleurer… Je suis stone, stone de leur beauté, de leur jeunesse, de leurs puissances masculines, de leurs muscles saillants, de la testostérone qui semble flotter autour d’eux… Petite Voix Off, tu peux toujours essayer de me raisonner… cette nuit je ne suis pas en état de l’être… Cette nuit, je choisis de prendre tous les risques… Cette nuit, je choisis de ne pas me soucier de quoi demain sera fait et de profiter de ce qu’aujourd’hui me propose… la ...
... tentation est si proche, si intense, je dois m’y abandonner… coucher en même temps avec le Jérém à poil brun et avec le Thibault à dos large, il doit y avoir pire dans la vie… j’en ai tellement envie… la voix off, tu m’emmerdes ! Je lui coupe le son et je rejoins les deux potes à l’intérieur… Et lorsque je les vois, côte à côte sur le canapé, je me dis que non seulement partir ce serait au-dessus de mes forces… mais je me fais également la réflexion que les bogoss sont vraiment comme les couilles... en général, ils marchent par deux... Jérém est bien installé sur le canapé, à l’aise, le bassin libéré du short rouge, la main sur la queue bien tendue, en train de se caresser… il tire une taffe sur ce joint de tous les dangers, juste avant de le passer à son pote… je croise son regard, un regard lubrique, caressant, concupiscent… je crois que je ne l’ai jamais vu dans cet état… j’ai l’impression que cette nuit il n’a pas de limites… il me regarde tout droit dans les yeux et, en esquissant un petit sourire qui ajoute du libidineux au lascif, il ôte son débardeur… Son geste est calculé, il sait bien ce qu’il fait… pire que ça… son geste est de la pure provoc’… le petit con sait bien à quel point la simple vision de son torse me rend dingue… et pour me faire craquer comme une coquille de noix dans un casse-noisette, voilà qu’il pousse le vice jusqu’à saisir le petit bout de coton du bout des doigts, tendre le bras, tout en lui imprimant un effet de balancier… le débardeur décolle, décrit ...