Madame la directrice - Première partie
Datte: 10/05/2019,
Catégories:
inconnu,
Collègues / Travail
école,
fsoumise,
hdomine,
chantage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
nopéné,
fsoumisah,
... oublié cela, la question piège.— Alors ?— Eh bien pour être franche, on ne se cache rien, sur le coup je suis assez émoustillée. Vendredi, j’ai senti mes seins se durcir quand j’ai enlevé le soutien-gorge, mais dès que je pense à ses culs bénis de l’OGEC et des parents d’élèves, j’ai des sueurs froides.— Je te comprends, je te propose la stratégie suivante : il faut absolument entrer en contact direct avec lui et le pousser à la faute. Tu vas déboutonner non pas un mais deux boutons et enlever ton soutien-gorge et ton polo, ça te va ?— Nue sous ma blouse… Je ne sais pas, je réfléchis et je te rappelle à midi. À midi pile, Solange rappelle et me dit : — Écoute, je pense que tu as raison. Il faut y aller à fond, mais je voudrais que tu sois d’accord même si les choses vont plus loin. Je ne cacherai rien.— Je suis d’accord, n’aie pas de scrupules, de toute façon c’est ça ou changer de poste si les choses s’ébruitent.— Ok, je fais comme prévu. * * * * * À la sortie, Solange s’isole dans son bureau pour enlever son soutien-gorge et son polo. La blouse dégrafée de deux boutons reste présentable, mais par contre un observateur avisé pourrait s’apercevoir qu’elle n’a pas de soutien-gorge… « Tant pis », se dit-elle, « il faut y aller ». La sortie se déroule sans souci. Solange observe tous les hommes présents, son « suspect » est là, tiens tiens… Elle remarque qu’il lorgne sur ses seins. Le résultat ne se fait pas attendre, le lendemain un courrier, elle le lit rouge de honte mais ...
... elle décide de n’en parler à son mari que le soir. L’envie de prendre seule les décisions ? Le soir comme convenu Solange glissa sa culotte et un double de clé dans une enveloppe et la plaça dans la boîte sans la fermer. Au retour, elle raconta tout à son mari, qui lui dit : — Bravo, félicitations, le voilà ferré. N’oublie pas du linge de rechange pour demain. Le lendemain matin, Solange se précipita sur la boîte aux lettres de l’école, elle était fermée. Elle ouvrit et trouva une enveloppe, le contact était établi, c’était une demi-victoire. Elle ouvrit la lettre dans son bureau. Solange avait un peu oublié la peine, elle était inquiète que quelqu’un puisse entrer dans le bureau pendant qu’elle se déshabillait, ça la glaçait. Elle décida de fermer à clé, « il » ne pourrait pas s’en apercevoir. À quinze heures, comme prévu, le téléphone sonna dans le bureau, doucement elle se leva fermer la porte à clé, et se déshabilla totalement. Il se passa cinq minutes durant lesquelles par deux fois, la poignée de la porte fut abaissée, quelqu’un essayait d’ouvrir la porte sans frapper. Enfin un nouvel appel de trois sonneries, Solange se rhabilla vite et reprit ses cours. Le soir en partant, elle mit un petit mot dans la boîte aux lettres : Le lendemain, la réponse était là, cinglante : Comment avait-il pu savoir ? C’était les deux tentatives d’ouverture de la porte. Alors, il s’agirait de quelqu’un de l’école ? Solange sentit une sueur glacée lui couler dans le dos. La suite était plus ...