1. L'étalon aiguille (Tome 3) (5)


    Datte: 10/05/2019, Catégories: Transexuels

    ... lui. En se cambrant, il lui arracha un nouveau cri de plaisir. Ils étaient ainsi tellement collés l’un à l’autre qu’on ne voyait absolument plus son pénis, complètement englouti par le sexe de la fille. A son tour, il soupira. — Oh oui… Que c’est bon ! — Je m’en fous que ça soit bon. Maintenant que tu es rentré dedans, tu sais ce que tu voulais savoir. Allez, c’est fini. — Non, Tiff’. Attends, je n’ai même pas bougé en elle ! Je veux savoir ce que ça fait. — Phil… En appui sur les avant-bras, il se mit alors à faire onduler son bassin. Tiffanny et moi avions maintenant une vue parfaite sur le phallus qui entrait et sortait sans le moindre effort dans la chatte de Chantal. Au bout de deux minutes, elle reposa ses jambes sur le matelas. Mais Philippe ne s’arrêta pas, bien au contraire : il s’accrocha un peu plus fort à ses épaules et se mit à la besogner de plus en plus rapidement. — Phil, ça suffit. Arrête. — Non… Non… — Oh oui ! Oh oui ! — Phil, tu avais dit… — Je sais, j’avais dit… Oui, oui ! Mais je ne peux pas… tenir parole… Oh oui ! ...
    ... C’est trop bon ! — Oh oui, continue ! Vas-y ! Arrête de parler, continue ! Il assénait de véritables coups de boutoir qui se répercutaient sur tout le corps de la jeune femme. Je la voyais manquer de heurter avec son crâne la tête du lit chaque fois que son pubis butait contre le sien. Lui la besognait maintenant à toute vitesse en ahanant. Il n’avait manifestement plus qu’une idée en tête, transgresser les règles fixées et aller jusqu’au bout de cette pénétration. Les yeux fermés, Chantal se laissait porter par la vague qui montait en elle. Totalement subjuguée, je ne vis pas Tiffanny (qui connaissait parfaitement la maison et ses moindres caches secrètes) se saisir d’une cravache. Sans mot dire, elle se plaça au pied du lit, et arma son bras. Le claquement de la lanière de cuir sur les fesses de Philippe me fit sursauter. A ma grande surprise, il poussa un cri, mais ce n’était pas de douleur : il jouissait. Il s’était cambré plus encore et, le corps maintenant complètement arqué, il déversait son sperme dans le vagin de sa partenaire. 
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