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COLLECTION SM. J’assume mon SM.
Datte: 10/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme
... l’arraché et cassant au moment où le mal ait le plus intense. Et puis la mort est là quand le souffle est si prêt que je le sens sur ma nuque. Dans un ultime mouvement de survie une trouée à gauche dans la pénombre me fait penser que je lui ai échappé. Je profite de cet avantage pour accélérer de plus belle comme je le fais quand sur une piste d’athlétisme je peux franchir en vainqueur la ligne d’arrivée. Mal m’en prends car c’est dans un champ de ronce que je pénètre déchirant mes chairs mais m’apportant un semblant d’orgasme sans en être vraiment un. Mes jambes et mon bas-ventre me font mal mais j’adore de plus en plus ces piqûres qui parcellent mon corps. Et la nouvelle chance pour moi, une clairière me fait apparaître la lune qui l’éclaire mais le souffle est revenu sur moi et je suis obligé de franchir un nouvel obstacle constitué par un champ d’orties de plusieurs centaines de mètres. Les premiers se font sans douleur mais rapidement les piqûres urticantes des feuilles me cuisent et c’est en en sortant que j’attends l’alalie étant à bout de souffle en tombant sur un carré d’herbe tendre à quatre pattes. La bête en profite et les coups que je reçois sur mon fessier avec une baguette cueillie avant de me faire démarrer sont plus près de ceux que sait me donne Vivian que ceux qu’un hypothétique sanglier pourrait le faire. Je mets une seconde à comprendre que c’est mon maître qui a déclenché cette course me talonnant tout le temps car mes pieds nus étaient un handicap alors ...
... que lorsqu’il vient se placer devant moi me présentant sa verge je m’empresse de j’a prendre en bouche malgré mon essoufflement. Sentir sa verge aller et venir quand il me prend par les cheveux pour me tirer à lui me fait couler la vulve qui est prête à le recevoir. Est-ce la peur de la mort si l'animal avait existé ou les branches ayant labouré mon corps mais sans qu’il me touche et en mettant simplement deux de mes doigts dans mon vagin je jouis de manière jamais encore ressentie. Tout de même épuisée je m’affaisse sur mes avant-bras montants plus hauts ma croupe que mon animal de mari s’empresse de venir remplir. Il m’a fait souvent jouir depuis notre mariage mais là, mais là, mais là le souffle me manque plus encore que la course dans les bosquets pour dire l’orgasme dévastateur qui me submerge. La bitte de Vivian est extraordinaire car jamais rassasiée de mon intimé dans ce clair-obscur. Les orgasmes succèdent aux autres orgasmes et je finis par être un orgasme gigantesque et je crie mon plaisir en sentant les longs jets de sperme déferler en moi. Dans le même temps celui dont je deviens de plus en plus l’esclave hurle à la mort comme pourrait le faire un des loups dont la peur a engendré cette course folle pour atterrir sur ce carré d’herbe tendre. Il fait complètement nuit quand le brame d’un cerf appelant ses femelles pour les remplir comme mon mari vient de le faire me réveil. Je le secoue et nous prenons le chemin du retour tendrement enlacé notre sang bouillonnant ...