1. Une bonne cliente


    Datte: 10/05/2019, Catégories: fh, grosseins, Masturbation entreseins, préservati,

    ... dans le canapé face à Karine. Elle s’était mise à genoux de trois quart face dans le fauteuil, sa tasse de café chaud entre les mains. De là où je me trouvais, je pouvais parfaitement distingué son épaisse toison pubienne. Elle ne faisait rien pour me la cacher. « Pardon pour hier soir » me dit-elle. « Je ne voulais pas agir de la sorte. J’avais beaucoup bu » « Ce n’est rien, tu … » « Laisse moi finir. Ce que je t’ai dit est vrai. Tu me plais. C’est une évidence que je ne peux pas nier et cela même si je suis toujours avec Fabrice » Ces quelques mots me firent rougir. J’étais un peu mal à l’aise. « Je pense souvent à toi » rajouta t-elle. « Je m’imagine souvent en train de faire l’amour avec toi, même lorsque je le fais avec Fabrice » En prononçant ces quelques mots, elle posa sa tasse sur la table basse et elle vint s’asseoir sur le canapé à mes cotés. J’étais comme pétrifié par la tournure que prenaient les événements. Mon bermuda était déformé par l’excitation que Karine me procurait. J’ai également posé ma tasse sur la table de peur de renverser son contenu sur le canapé. En me reculant pour reprendre place au fond de celui-ci, j’ai senti la main de Karine se poser sur ma nuque. Je me suis retourné vers elle. Elle était là, son visage à quelques centimètres du mien. Je pouvais sentir son parfum. Elle sentait divinement bon. Je l’ai prise par la taille et nous nous sommes tendrement embrassés comme deux adolescents ravis de pouvoir enfin conclure un jeu de séduction ...
    ... qui avait trop longtemps duré. De ses deux mains elle me caressait les cheveux. Rapidement, elle avait entrepris de déboutonner ma chemisette. Je fus rapidement torse nu. De mon coté, j’avais défait la ceinture de son peignoir et libéré ainsi ses deux gros seins de leur prison de coton. Elle avait des seins superbes, gros, au bout desquels deux larges auréoles brunes et deux gros tétons pointaient. Tout en continuant de l’embrasser dans le cou et sur les épaules, je me suis mis à lui caresser lentement ses deux seins. Karine avait entrepris de m’ôter mon bermuda. Elle se saisit de ma bite en pleine érection et commença de doux mouvements de va-et-vient. Elle me fit asseoir dans le canapé. Elle était maintenant accroupie entre mes deux jambes. J’étais complètement nu, alors qu’elle avait encore gardé son peignoir sur ses épaules. Elle continuait à me branler lentement, me décalottant le gland à chaque descente vers le bas de ma verge. Elle lécha mon gland, puis ma bite sur toute sa longueur. Après deux ou trois allers-retours, elle se recula légèrement et ôta son peignoir. Elle prit ses deux gros seins entre ses mains et elle commença à les malaxer. Elle faisait rouler ses tétons entre ses doigts, ce qui a eu pour effet de les faire doubler de volume. Devant ce spectacle, je me branlais lentement en la regardant fixement dans les yeux. Elle me souriait. Elle s’approcha à nouveau de moi et elle empoigna ma bite qu’elle lécha à nouveau sur toute sa longueur. Elle se redressa ...