One shot : Maureen
Datte: 10/05/2019,
Catégories:
ff,
frousses,
inconnu,
fépilée,
fête,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
odeurs,
massage,
intermast,
rasage,
Oral
69,
fist,
fdanus,
Lesbienne
... robe de soie verte, glissant sa main dans l’ouverture du côté, pour trouver enfin la peau douce et laiteuse, une vraie peau de rousse. Osant à peine tirer sur les clous – « J’ai si peur de te faire mal… murmure-t-elle » - Clémence s’empêche d’embrasser les deux jolies demi-pommes aux mamelons gonflés. De sa main libre, Maureen tire sur un de ses Barbells, allongeant ainsi étonnamment son téton, tout en continuant de remonter sa main sous la robe de Clémence, dévoilant de plus en plus les longues jambes fuselées et couvertes de taches de rousseur. Se rappelant que son amie n’a plus de culotte, Maureen cherche le contact du sexe, qu’elle imagine parsemé d’une belle toison rousse. Ses doigts trouvent enfin les lèvres, lisses et poisseuses de la sève qui monte. Poursuivant son exploration, elle découvre alors le mont de Vénus, couvert d’une prairie de boucles fines et bien taillées. Très sensible aux goûts et aux odeurs, Maureen ne peut s’empêcher de porter à sa bouche ses doigts couverts de rosée. Elle est submergée par des effluves musqués et boisés. Ce parfum capiteux est terriblement sexuel. Elle ne rêve plus que de plonger son visage entre les cuisses de la femme qui l’accompagne, de s’enivrer de cette liqueur, qui la conduit presque vers un état second, faisant d’elle une assoiffée de sexe, un animal rendu fou par le désir. La course en taxi se termine à l’entrée de la villa, l’excitation était encore montée d’un cran lorsque Clémence avait elle-même remonté sa robe pour ...
... monter à son amante son pubis aux couleurs de l’automne. Un peu intimidée, Maureen suit son amie qui entre chez elle. Le hall s’allume sur son passage. D’un pas de princesse, Clémence monte les escaliers qui mènent aux chambres. En dégrafant sa robe, elle offre à Maureen, comme seul horizon, la contemplation de ses fesses magnifiques. Elle ouvre une double porte puis se laisse glisser avec grâce sur un magnifique lit à baldaquin. Encore habillée, Maureen vient s’asseoir au bord du lit. Une douce lumière lui permet de découvrir le corps de Clémence, ses longues jambes au grain de peau si délicat, ses cuisses fuselées où se niche le buisson tant désiré, ses hanches rondes et harmonieuses, son ventre plat qui met ainsi en valeur ses seins aux rondeurs voluptueuses que la gravité n’a pas abîmés, son cou d’albâtre et son visage de star américaine. D’une main légère comme une plume, elle survole tous les trésors que lui offre Clémence, fascinée par le corps de cette femme qui pourrait être sa mère et pour qui elle éprouve un désir ensorceleur. — C’est ça, s’entend-elle dire tout haut. Tu es une sorcière. Je suis ensorcelée, conclut-elle dans un sourire complice et soumis.— Déshabille-toi, répond tendrement la veuve rousse en souriant. Je veux te voir nue avant de te dévorer, avant que tu ne deviennes ma chose. D’un gracieux mouvement d’épaule, dans le crissement délicieux de la soie qui glisse sur sa peau, Maureen fait tomber sa veste. Ses mains caressent lascivement ses seins, puis ...