Handicap2
Datte: 11/05/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... sur ton canapé ?_Oh oui pourquoi pas, déplie-le, je vais me pousser tu as une manette là.Carole se releva, et s'éloigna pour permettre son ouverture._Ok, alors là c'est le plus technique, pour me prendre, tu dois mettre un bras entre mes jambes désolé hein, et l'autre derrière mon dos. Voilà, le bras du dos en diagonale, la main le plus haut que tu puisses, et quand tu vas me soulever, ne rigole pas : il va y avoir un transfert de masse, j'ai tendance à partir vers l'arrière, donc prépare toi, parce que j'ai pas trop d'abdos. Et après tu me plaque contre toi, comme un bébé et là tu pourras marcher etc.La main placée entre ses jambes entra en contact avec une chair plutôt molle et chaude.Carole sur son canapé : son bienfaiteur peut reprendre ses soins. Tout en la massant, il vit ses jambes et leurs bourrelets, qui dans cette position ne cachaient plus son sexe. Il massa ensuite le bas de « ses mollets », bien qu'ils n'avaient pas beaucoup de points communs avec de « vrais mollets », puisqu'ils ne font qu'une petite dizaine de centimètres de long, et la peau y est posé sur de l'os. Il caresse ensuite le bourrelet de peau dans le but d'en connaître la texture quand Carole l'interrompt._Si tu peux me passer du talc à cet endroit s'il te plaît, tu verras, il est dans la salle de bain.Il revient quelques instants plus tard, s'agenouille et soulève le pli pour y mettre le talc. Si vous vous retrouviez devant un plan focus de cette partie du corps de Carole, vous pourriez croire ...
... qu'il s'agit d'une cuisse de femme obèse. Sous le pli, la peau est effectivement rouge, le talc devrait prévenir une irritation. Il pétrit ensuite cette masse de peau, de laquelle sortent quelques poils éparses. Ce n'est pas très agréable à regarder, mais pas désagréable à manipuler, il souhaite bon courage à celui qui veut enlever toute tension musculaire à cet endroit, car le muscle est inaccessible, il semblerait que toute la graisse de Carole s'accumule ici. Au fur et à mesure qu'il remonte cette cuisse informe, la peau se raffermitCarole est bien installé, et profite de ce moment privilégié et rien que pour elle. Ses pensées angoissées laissent place à de plus légers songes. Vous savez ? Ce moment entre l'éveil et le sommeil, là où nos pensées deviennent moins rigoristes, sans pour autant perdre notre conscience. Elle sent son diaphragme redescendre, et sa respiration se faire de plus plus profonde. Mais un élément vient perturber ce petit moment de bonheur._Je suis désolé Stéphane, ça me fait vraiment du bien, ça me détend, ce n'est pas la question, mais ça me détend un peu trop._Ah, je vois, tu as envie de te soulager c'est ça ?_Oui... confirme t-elle gênée_Tu as un pistolet ?_Non, j'utilise un siège de toilette, tu as dû le voir dans la salle de bain tu connais le chemin maintenant._Oui.Il revient avec, et y transfert Carole, direction les toilettes. Pour que son intimité soit préservé, il la laisse seule. La cuvette se remplit dans un bruit ayant le don de faire rougir ...