1. Un couple fusionné


    Datte: 11/05/2019, Catégories: f, fh, ff, fagée, couple, douche, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral délire, fantastiq,

    ... Je ressens les mêmes choses que toi. Quand tu as joui, c’était énorme ! J’peux te dire que j’avais jamais joui comme ça. Ça ne m’avait jamais pris le corps comme ça nous l’a pris.) Marlène avait réglé le jet et la mouillait en faisant très attention au plâtre. Elle s’étonna : — Tu me parais bien soucieuse…— Pas soucieuse, mais… (Qu’est-ce que je lui dis ?)(Brode sur première fois… pas lesbienne…) — … c’est la première fois avec une femme. Enfin, avec toi. Ça a été si fort ! J’ai peur… (Tu vois, ma poule, il suffisait de te lancer.) — Peur de quoi ?— Que tu fasses ça juste par pitié, pour me faire oublier mon deuil.— Agnès, depuis que je te connais, j’ai envie de te prendre dans mes bras. (Sans compter m’allumer dans la salle de bain…) — Je ne pensais pas que tu étais lesbienne.— Je ne le suis pas. Enfin, je crois pas. Tu m’as fait vachement plaisir ce matin à l’hosto quand tu m’as dit que c’était moi et pas une femme que tu avais embrassée… (Les gonzesses, faut que ça roucoule.)(Parce que vous faites pas la même chose ?)(Si, mais avant de baiser. Après, c’est inutile.)(Salaud ! Ben va falloir que t’endures, car vois-tu, j’ai envie que ce ne soit pas juste un one-shot, comme tu dirais.) Après une longue douche entrecoupée de mamours qui agacèrent/excitèrent Robert, où Agnès voulut rendre la monnaie de sa pièce à Marlène sans pouvoir conclure, les deux femmes s’octroyèrent une petite collation. Les émotions, ça creuse ! ************ Une semaine après sa sortie d’hôpital, ...
    ... Agnès tentait de redonner à sa vie un cours normal, aidée par Marlène mais aussi par les longues discussions en interne avec son mort. Les deux femmes envisageaient la possibilité de vivre en couple sans se cacher, la plus jeune emménageant chez la plus vieille. Robert, qui commençait à mettre beaucoup d’eau dans son vin, reniant peu à peu se principes machistes, encourageait sa veuve à vivre son histoire d’amour sans complexes et sans soucis du qu’en-dira-t-on. C’est à ce moment que Paul l’appela au téléphone. Agnès, naïve, pensa que c’était pour tenter de renouer leur relation. Elle s’apprêtait à lui faire comprendre gentiment que le mot « fin » avait été écrit qu’elle était passée à autre chose. Ce n’était pas la cause de son appel. La rumeur se répandait dans le village qu’elle avait une liaison avec la coiffeuse, et il la noya sous un flot d’insultes avant qu’elle ne lui raccroche au nez. Cela déclencha une discussion surréaliste à deux niveaux : Agnès avec Marlène et Robert avec Agnès. Robert, retrouvant son instinct batailleur, voulait aller casser la gueule à ce connard ; Agnès lui répliquant que le « pur esprit » qu’il était devenu aurait quelque mal à user de ses poings virtuels. Marlène, guère moins agressive, proposait d’aller lui couper les couilles et de les lui faire bouffer. (T’as vraiment bien choisi, ma poule : ta nana est un mec comme je les aime… avec quelque chose de plus.)(T’as fait des progrès, mais tu restes un sacré macho !)(Parce que le Paulo, en te ...
«12...131415...»