CFNM à l'université Chapitre 00 - Prologue
Datte: 11/05/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Prologue Je suis nu, j'ai mal des quelques coups que j'ai déjà reçus ce soir, mais surtout, j'ai mal de honte. Je retiens des larmes de honte. Elles m'ont mis un collier de cuir auquel elles ont attaché mes deux poignets. Devant moi, le couloir de la honte. Il y a cinq ans, j'avais trompé Stéphanie, j'avais succombé aux charmes d'une autre, j'avais dix-sept ans, elle m'avait pardonné, mais elle m'avait décrit ce que je vais subir. Me faire passer nu dans un couloir composé de ses amies, toutes armées de cravaches et de planchettes, ou d'autres outils que l'on voit dans les magazines SM. Elles sont amusées, elles sont excitées, et il y en a tellement. Deux murs de filles, tout le « Pussy Power » sans doute, se tenant à moins de deux mètres l'une de l'autre. Combien de filles déjà? J'ai peur, mais un coup sur les fesses me fait revenir à moi. — Avance, ordonne Anne-Sophie, qui jubile de me voir ainsi. Un deuxième coup de sa cravache me sort définitivement de ma torpeur, je ne peux pas y couper. J'avance. — Il bande encore, dit une voix un peu plus loin. Dire que je connais presque toutes ces filles. Comment vont-elles me voir après cette soirée? Je ne peux faire que de petits pas, elles ont également attaché une chaine à mes chevilles, elle fait à peine trente centimètre. J'avance encore et me retrouve entre les deux premières filles, Amandine et Géraldine. Un grand sourire aux lèvres, elles préparent leur cravache et leur sorte de raquette. Encore un pas un petit, et mon corps ...
... est à portée. Tout de suite, je reçois un coup de cravache sur les fesses. Je m'y attendais, mais c'est douloureux. Et pourtant, c'est encore léger. Le premier passage est facile, m'a dit Stéphanie. Un autre coup avec la raquette. Un autre type de douleur, je serre les dents, elles frappent encore. Je ne peux même pas courir, elles ont prévu le coup. Elles frappent vite alors que les deux suivantes sont prêtes. Je reçois des coups sur le ventre et les cuisses, et l'une s'amuse même à frapper mon sexe. Je crie, je retiens mes larmes. Les filles crient leur joie de participer à ce jeu pour elles, ce calvaire pour moi. Les coups n'arrêtent pas, je n'ai pas le temps de me remettre, il y a tellement de filles qu'il y a toujours un coup quelque part, une cravache, un martinet, une raquette, et d'autres trucs dont je ne connais même pas le nom. Les larmes coulent de mes yeux, elles crient victoire. Je ne peux que marcher, si je marche cela fera moins mal, moins longtemps en tout cas. Je relève un peu la tête, je ne suis qu'au début? La longueur du couloir fait presque tout le loft de Stéphanie. Certaines m'encouragent, elles crient, une drôle de voix, une voix excitée. Elles ont un plaisir indéniable à me frapper de la sorte. Tout mon corps est endolori, elles me frappent partout, ce n'est même pas une punition, c'est un jeu pour elles, la réalisation d'un fantasme de lycée. Je lève encore les yeux, le couloir n'en finit pas. Dire qu'à chaque passage, les coups seront plus forts... ...