Mes amies d'enfance (3)
Datte: 11/05/2019,
Catégories:
Hétéro
... cadence. Bientôt, je lui lime le cul comme j’aurais baisé sa chatte, c’est-à-dire fort. Elle gémit… de plaisir. Putain mais elle aime vraiment ça. Elle cachait décidément bien son jeu, la petite salope : — C’est bon ? — Oui ! Oui ! — Tu en veux encore ? — Oui ! Encore ! Bordel, elle a l’air encore plus excitée que lorsque je lui ai fourré le vagin. Voir Emilie totalement offerte, à quatre pattes rien pour moi, avec mon sexe qui disparait dans son anus, cela me fait perdre la tête. Je deviens une bête. Je veux la défoncer tellement fort qu’elle en boitera demain et que ses sœurs lui demandent ce qui lui est arrivée. Pris sous l’envie du moment, je lui donne soudain une fessée. Merde ! Je suis fou ? Je n’aurais pas dû. — Ah ! Oui ! gémit-elle. Elle a aimé ? Sa réaction m’étape ! On dirait une vraie petite soumise. Cela m’encourage à être plus brutal. Je veux que son cul devienne un cratère qui ne se referme jamais. C’est vraiment trop bon. Maintenant que j’y ai gouté, je ne vais plus pouvoir m’en passer. Je sens que je vais abuser d’elle et de son petit trou tous les jours. Elle m’appartient, elle est à moi. Je ne laisserais personne d’autre la toucher. Mes couilles pleines claquent contre son pubis. Ses gros nibards se gigotent dans tous les sens. Je ne vais plus pouvoir me retenir, j’ai besoin d’éjaculer depuis trop longtemps. Elle s’écroule en avant, la poitrine écrasée sur le matelas. Elle non plus ne parait plus très loin de l’orgasme. Je grince des dents, plus qu’un petit ...
... effort à faire. Son corps frissonne à chaque nouvelle fessée. — Petite salope ! fais-je. Je sais que c’est vulgaire, mais c’est sorti tout seul. — Je suis désolée, dit-elle presque en pleurant. — Désolée de quoi ? — D’être une salope. — Tu aimes qu’on te prenne par le cul comme une chienne ? — Oui… Encule-moi ! Je vais jouir ! — Jouis, ma petite chienne ! Jouis pour moi ! — Oui ! Oui ! Aaah ! Ça vient ! — Vas-y Emilie ! — Ouiiiiiiiii ! Aaaaaaaaaaah ! C’est incroyable. Elle jouit, elle jouit par le cul. Je n’aurais jamais cru ça possible, il faut le voir pour le croire. C’est trop, cela déclenche mon propre orgasme, sauf que je suis bien trop vicieux pour me contenter de gicler dans ses intestins. Rapidement, je sors d’elle et la retourne sur le dos alors qu’elle est encore frappée par sa jouissance. J’ai besoin de la salir comme la dernière des putes, de souiller son innocence. Je me branle devant son visage et grogne lorsque j’expulse mon premier jet de sperme. — Héééééé ! Non ! s’écrie-t-elle en comprenant à peine ce qui se passe. Je suis incapable de m’arrêter. Je lui envoie d’autres copieuses trainées de foutre. Je me vide les couilles sur sa délicieuse petite figure de vierge. — Allez ! Prends ! Salope ! Malgré qu’elle remue la tête pour l’éviter, son nez, ses cheveux et ses joues sont recouverts de jus de mâle. Je m’essors la queue pour lui donner les dernières gouttes lorsque ma source se tarit. Je pousse un râle de bonheur une fois fini : — Raaah ! Putain ! Emilie… — ...