1. Mes amies d'enfance (3)


    Datte: 11/05/2019, Catégories: Hétéro

    ... que ce qu’elle peut endurer, sauf cette fois, c’est pour se presser la chatte contre ma figure. Elle cherche à m’emprisonner, à me forcer de lui donner la délivrance de l’orgasme, mais j’arrive hélas à me délivrer au dernier moment. — Clay… me supplie-t-elle. — Tu veux que je te fasse l’amour ? — Oui, s’il te plait. — Alors demande-le moi. — Je veux que tu me fasses l’amour. — Dis-moi comment. — Comment ? répète-t-elle, elle ne comprend pas. — Tu veux que je te lèche encore ? Ou que je te pénètre avec ma bite ? — Je voudrais… avec ta bite… rougit-elle. — Tu veux que je te prenne ? — Oui… Sa voix est si douce, on dirait une enfant. Je me redresse et me déshabille. Elle fixe mon sexe bandé lorsque je me débarrasse de mon caleçon. C’est le premier pénis qu’elle voit en vrai, elle est obnubilée par ce qu’elle voit. Elle n’a pas l’air effrayée, plutôt curieuse et impatiente. Je me place entre ses cuisses, la bite en main. Je n’arrive pas à croire ce que je m’apprête à faire. Elle est là, allongée devant moi, complétement nue. Emilie… La douce et vierge. Je vais violer le temple de son corps. Elle va être souillée à jamais ; mais avant ça, je veux jouer encore un peu avec elle : — Dis-moi ce que tu veux. — Je veux que tu me fasses l’amour. — Mais encore ? — Que… que tu me prennes. — Tu veux me sentir dans ta chatte ? — Oui… — Alors dis-le moi… — Je… je veux te sentir dans ma chatte. Elle a honte de ses mots, mais elle est dans un tel état que je peux lui faire faire n’importe ...
    ... quoi. Je pousse mon champignon au bord de ses lèvres, puis le presse pour m’insérer en elle. Je la pénètre. Comme je m’en doutais, elle n’a pas d’hymen, elle a déjà dû le faire sauter avec son jouet. Je me loge jusqu’au raz des couilles, nous gémissions ensemble de plaisir. C’est doux, chaud et humide. Je suis si heureux d’être le premier à entrer dans ce territoire inconnu. Je démarre un lent va-et-vient. Je suis peut-être un enfoiré de la tourmenter un peu, mais je tiens à ne pas lui faire de mal. Je me penche sur elle pour l’embrasser, je joue avec ses énormes seins. Elle est à moi, rien qu’à moi. Je veux la garder pour moi tout seul. Mon dieu… Emilie… Je la considérais tellement comme ma sœur à une époque que ce que nous faisons en est presque incestueux. C’est si bon de lui faire l’amour. Je me laisse aller à mes instincts primaires qui exigent que je la saillisse même si j’ai déjà deux autres partenaires. Mon dieu, les sœurs Mallory, elles me rendent dingues ! Je suis désolé, je n’y peux rien, elles sont tellement canons. Je veux les baiser, je veux TOUTES les baiser. Je les ai aimées comme un gamin, je veux les aimer comme un adulte, en leur donnant de l’amour et du sperme. Dieu que je les aime… Je profite de ce corps qui s’offre à moi. Je caresse ses courbes généreuses et fait glisser mes doigts sur sa peau douce. Elle me laisse la prendre désormais à bon rythme. Elle m’enlace pour me maintenir contre elle. Je lui fais ressentir mon souffle dans son cou. — Clay… ...
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