1. Il en avait une belle 2/2


    Datte: 12/05/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... salive possible. Pendant ce temps, je salivais en léchant son cul, soucieux de lui donner du plaisir. Sans que j’aie à pronnoncer le moindre désir, il vint de lui-même se placer contre moi, son dos contre ma poitrine, en cuillère, guidant lui-même ma verge vers son anus. Comme il prenait de l’initiative. Je saisissais sa verge dure comme de l’acier et le branlais lentement en sentant mon gland repousser sa chair. Il s’empalait seul et soudain, mon nœud eut raison de sa virginité. Je sentis un spasme parcourir son membre et lui dit de prendre tout son temps, que seul son plaisir m’importait. Après une bonne trentaine de secondes, il me dit qu’il se sentait prêt. À petits coups de reins, je gagnais du terrain. Son sphincter serrait agréablement ma hampe et la chaleur de son ventre me donnait envie d’aller de plus en plus loin. Il saisit mes couilles en me disant qu’il aimait bien me sentir en lui. Je n’ai sodomisé que quelques hommes dans ma vie, mais Guy reste à ce jour mon meilleur souvenir. Il était si désireux de découvrir ce plaisir et si précautionneux ! Je branlais langoureusement sa longue et grosse queue en le pénétrant en longs va-et-vient, comme j’aime être pris moi-même. Je réussissais à passer mon bras libre sous lui et lui pinçais le sein, le faisant rouler entre mon pouce et mon index. — Tu te sens bien ? Je ne te fais pas mal ? m’inquiétais-je à son oreille. — Oh non, mais elle est grosse, ta queue. — Hummmm... moins que la tienne. C’est ça qui est bon. C’est ...
    ... de se sentir rempli, distendu... De sentir cette masse aller et venir dans son ventre. — J’ai l’impression que tu vas ressortir par la bouche tant tu me sembles immense. — Si tu ne peux plus, je m’arrête ! insistais-je. — Non, je veux te sentir jouir en moi. J’en ai vraiment envie. — Et toi, tu jouiras dans ma bouche ? J’ai très envie de goûter ton sperme aussi. — Ouiiii ! Mais viens d’abord en moi, s'il te plaît. Ses désirs devinrent des ordres. Je pris le temps qu’il fallait pour lui enfiler ma bite jusqu’aux couilles, mais par expérience, un préservatif sans pose lubrifiant... Il serrait les fesses, les envoyait contre mon pubis, m’excitait avec des mots choisis en me cajolant les bourses. Ne cherchant pas à m’éterniser, je jouissais longuement entre ses fesses, l’entendant me répéter que c’était trop bon, que je l’avais royalement dépucelé et qu’il m’enculera tant que je le désirerais. Le courant d’air glissait sur nos corps échauffés. Immobile et plongé en lui, je caressais son torse venu à souhait. Ne voulant pas être inconfortable pour lui, je laissais glisser ma verge hors de lui. Il retira lui-même mon préservatif et caressa ma queue en me remerciant de ma douceur. Il me nettoya entre ses lèvres, ravissant les quelques gouttes restantes en me disant que “ça n’avait pas l’air mauvais”. Sa queue me narguait toujours et même si je venais de jouir, le spectre de son éjaculation n’avait toujours pas quitté mon esprit. Je m’agenouillais entre ses jambes et lui demandais de ...
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