1. Un weekend bien chargé à décharger... (4)


    Datte: 13/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Elles se sont placées devant le sofa, l’une contre l’autre, prenant un bon appui avec les bras et leurs culs un peu surélevés. Le spectacle était magnifique, les deux fesses noires jointes aux deux fesses blanches, comme des touches de piano. La rondelle black montrait encore des signes de son récent enculage et je pouvais voir qu’Aanja poussait fort pour préparer la sienne au même traitement. Je me suis installé derrière cette dernière, non sans leur avoir au passage flanqué une fessée à chacune. J’ai saisi les hanches blanches d’Aanja et j’ai planté ma bite dans son con. J’ai été assez surpris de la sentir assez étroite, un peu comme un fourreau. En général, j’adore, mais là j’ai immédiatement pensé que cela allait être difficile de tenir la distance avec ma bite serrée comme dans un écrin. Je me suis donc forcé à prendre une cadence plus lente, ce qui me permit aussi, de la main gauche, d’enfoncer 3 doigts dans la chatte de Belinda. J’ai mis ma main droite sur le sillon fessier d’Aanja et j’ai lentement introduit mon pouce dans son anus. Là aussi, je l’ai sentie plus étroite que sa complice. Moins de pratique... ou meilleure musculation ?! L’avenir me le dirait... J’ai quitté la foufoune blanche pour la chatte noire, inversant aussi les rôles pour mes doigts. Le pouce dans le cul de Belinda, trois doigts dans le con d’Aanja. J’ai pistonné sa chaude cramouille, plus large et plus humide, à bonne allure mais en faisant attention à ne pas arriver au point de non-retour. ...
    ... Elle gémissait sous mes coups de butoir et arquait son corps pour que je puisse la prendre plus profondément. J’ai à nouveau changé les rôles. Retour dans la chatte blanche, mais juste pour 2 petits allers-retours car très vite j’ai placé mon gland à l’entrée de son anus. Elle a dû penser que j’hésitais car, comme une supplique, en se retournant vers moi, elle a lancé "vas-y, bourre mon cul, fourre ta queue dans mon fion...". Je ne me suis pas fait prier et d’un mouvement doux mais continu j’ai écarté les lèvres de son anus pour doucement la pénétrer jusqu’à la garde. Je l’ai sentie trembler, son rectum semblait comme vivant ; il avait gobé mon dard, avalé ma queue qui semblait du coup avoir toujours été là ! J’ai entamé une petite séance de va-et-vient ponctuée de claques bien sonores sur son joli popotin. Et à chaque coup de piston, à chaque fessée, elle me haranguait "bourre-moi le cul, laboure-moi, prends-moi la rondelle..." Mais j’essayais d’y aller mollo car j’étais au bord de cracher mon foutre dans ses entrailles. Tout à ma besogne, j’avais à peine remarqué que Belinda s’était éloignée. Jusqu’au moment où j’ai senti une de ses mains sur mes fesses. L’instant d’après, la salope m’injectait deux doigts dans la pastille. Ce n’est pas que je sois contre... bien au contraire ! J’ai toujours adoré me faire défoncer la rondelle. Célibataire, j’avais une belle collection de vibros et de plugs anaux. Mon ex avait vite découvert que je me mettais un ou deux doigts dans la rosette ...
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