1. Dans le sérail d'une candidate à la présidence de la République


    Datte: 24/08/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... chair de poule sur les flancs et les fesses et surtout une série de brames qui le prit au cervelet. Il se sentit partir, d'autant que Nathalie elle-même, complètement chamboulée par le battement des couilles sur sa chatte, décollait également vers le septième ciel. Sébastien connut l'extase anale pour la première fois de sa vie sexuelle tandis que sa partenaire s'affalait à plat ventre sur le lit en gémissant. La capote de Sébastien présentait désormais l'aspect d'un petit sac en plastique rempli d'un liquide visqueux et il s'en débarrassa pour offrir sa queue à la succion de la plantureuse blonde, laquelle débarbouilla le gland d'une langue experte. - Eh ben, je comprends pourquoi la patronne grimpait aux rideaux avec toi, soupira-t-elle. Tu es vraiment né pour le cul. - Et toi donc. Si j'avais su, je t'aurais draguée dès le début. Tu caches bien ton jeu. Je t'ai plus davantage que Kevin ? - Oh lui, il prend son plaisir d'abord. Il ne sait pas faire jouir une femme. Je vais avec lui pour mes hormones, c'est tout. - Je crois que de ce côté là, tu as eu ta dose, conclut Sébastien. Nathalie gloussa et répondit : - Je peux rester dormir avec toi ? Catherine va rentrer tard, elle a un dîner et elle sera encore de mauvais poil. - D'accord. De toute façon, je m'en fous. C'est toi que je veux désormais. - Fais gaffe. Il va falloir être discret si tu veux finir la campagne. - Bof. Mes vacances se terminent et je vais retourner à la fac pour mes exams. - Ah bon ? Dommage... Bon, ...
    ... allez on fait dodo, tu m'as tuée. ****** Le lendemain matin au petit déjeuner, Catherine Prince avait sa tête des mauvais jours. Elle interpella Sébastien : - Tu étais où cette nuit ? Ta chambre ne répondait pas. - Euh... Je suis sorti en boite. - Tiens donc. Et tu te lèves déjà ? Tu me prends pour une conne ? Avec qui étais-tu ? - Il était avec moi, lâcha Nathalie, qui déjeunait à la même table. Un silence glacial envahit la tablée. Nathalie poursuivit : - Eh oui, on a baisé ensemble, et bien baisé. Tu n'avais qu'à pas le jeter comme une merde. Quand on a un beau mec dans son lit, on le garde. On en a marre de tes caprices. On se défonce pour toi et tu nous traites comme de la valetaille. Maintenant, tu fais ce que tu veux. Si tu le vires, tu me vires aussi. Le visage de Catherine Prince prit une teinte grise. Ces deux là venaient de lui donner un sacré coup de vieux. Elle se leva brusquement de table en jetant sa serviette par terre. - Dans un quart d'heure dans le hall, lança-t-elle entre ses dents. Catherine Prince ne vira personne, mais l'ambiance à couteaux tirés n'incita guère Sébastien à s'attarder, d'autant que les sondages continuaient de baisser. Il revint chez lui dès lendemain matin, abandonnant non sans regret Nathalie à son sort. Il suivit la campagne de loin et assista comme prévu à l'échec de Catherine Prince. Deux jours plus tard, il reçut un coup de téléphone. C'était Nathalie : - Coucou ! Je suis de passage dans ta ville ? On peut se voir ? - Ah quel plaisir ! ...