1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 643)


    Datte: 14/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... denier avance d’environ deux mètres et prends le martinet. Il lève la main, me frappe une première fois sur les fesses, puis après un répit une seconde fois et rapidement derrière une troisième fois. Visiblement je subis une correction. Je ne dois pas crier quoiqu’il arrive. Le Maître de cérémonie serait fâché. Après ces fessées et ces coups de martinets, il me caresse les fesses, insistant sur les marques douloureuses que je porte. Chaque passage de ses mains, me meurtrit davantage. Il arrête un instant. Les invités à genoux se lèvent et se dirigent vers une grille en fer forgé. L’ invité qui tient le martinet me pousse avec le bout. Il veut que je suive le groupe. Je me sens humiliée. Je suis, les Maîtres et Maîtresses s’écartent. Le Maître ferme la marche. Arrivée près de la grille, je remarque que la distance entre celle-ci et le piler de soutènement de la voute est relativement court. Des anneaux sont fixés dans ce pilier. Je me dis que je vais y être attachée et y subir d’autres coups. Tous se taisent. Le silence est lourd. Le Maître de cérémonie réfléchit ou prépare un plan diabolique. Je ne sais pas. Finalement il attache mon poignet droit à la grille, l’autre à la chaîne qui est accrochée au pilier. Il attache ensuite ma cheville droite à la grille. Un serviteur apporte un tabouret sur lequel il exige que je pose le pied, celui-ci est sanglé au tabouret. Ainsi en équilibre sur le pied droit, la seconde jambe fléchit pied posé et attaché à l’assise du tabouret je ne ...
    ... peux plus bouger. Les fidèles se réorganisent pour voir le spectacle. Certains sont devant moi, d’autres derrière moi. Au goût du Maître de cérémonie, le tabouret est trop prêt de ma jambe droite. Il le pousse de son pied, le fait glisser. La position devient très inconfortable. Je suis totalement écartée. Le Maître ordonne à trois invités de faire ce qu’ils ont à faire. Il s’assoit en face de moi, sur une chaise plutôt confortable. Je me sens fragile, comme un chrétien sur une croix. Certes mes mains et mes pieds ne sont pas transpercés, mais je suis nue, offerte aux regards des fidèles présents. Je remarque toutefois que ceux qui sont devant moi n’ont pas des mains de femmes. Y aurait-il eu un classement, les hommes face à moi, les femmes ayant mon dos comme spectacle ? Les trois invités font un petit détour et se servent sur une table. L’un d’eux prend une poche contenant un liquide blanc, il prend un tuyau, l’autre prend un seau. Le troisième prend des gants en latex et les enfilent. Celui qui a des gants se dirige vers moi, il me fait face, il me masturbe le clitoris d’une main et pendant ce temps enfonce les doigts de l’autre main dans mon vagin, deux doigts d’abord, puis trois et quatre. Il les retire et poursuit vers mon anus, il y met deux doigts, qu’il écarte, puis trois doigts. M’estimant assez dilatée je pense, il fait signe au porteur de poche et de tuyau d’avancer. Celui ci lui donne le bout du tuyau sur lequel une pince limite l’arrivée du produit. Je vais subir ...