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Piégé par ma kiné
Datte: 14/05/2019, Catégories: fh, jeunes, extracon, médical, fdomine, massage, nopéné,
... complètement mon sexe du boxer et l’admire un moment. Elle me dit que j’ai un joli sexe (pour moi un sexe reste un sexe et je ne trouve pas qu’un sexe soit particulièrement beau) et elle commence à me masturber doucement en tenant mon sexe du bout des doigts. Tout mon corps, tous mes sens et tout mon esprit sont réunis dans ma verge. Les doigts de ma kiné courent sur mon membre de manière saccadée, plus ou moins rapidement. C’est elle qui dirige tout, je suis incapable de rien. Je sens juste le plaisir monter. J’ai fermé les yeux depuis longtemps pour ne ressentir que le plaisir que me donnent ses petits doigts sur ma verge. C’est exquis. Je suis tout proche du paradis. Jamais une branlette ne m’a fait un tel effet. Je ne pense même pas à culpabiliser vis-à-vis de ma compagne. Ma kiné s’y prend tellement bien que mon esprit ne se concentre que sur mon désir et mon plaisir. Mon plaisir est intense. J’ouvre alors les yeux pour regarder ma petite kiné. Quand je vois ses yeux briller de plaisir, sa langue se promenant sur ses lèvres et sa main s’activant sur mon sexe, c’en est trop, je jouis. Ma tête part en arrière et je râle. Voyant le plaisir que j’éprouve, elle me dit alors : — Maintenant je vais te vider les couilles. Elle prend mon sexe à pleine main et se met à me masturber furieusement. Je ne tiens pas longtemps. J’ai tout juste le temps de lui bafouiller un truc pour la prévenir que je n’allais pas tarder à venir, afin qu’elle puisse arracher à temps un bout de sopalin ...
... étendu sur la table. Je sens ma semence monter le long de ma verge. Elle applique alors le sopalin sur mon gland et je me déverse dedans par de longs jets. J’éprouve alors un plaisir intense. J’ai l’impression que mon éjaculation est sans fin tellement je prends mon pied. Ayant rempli le sopalin, ma kiné va le jeter dans la poubelle toute proche le temps que je me rasseye sur le bord de la table. Elle revient essuyer avec beaucoup d’application le restant du sperme qui coule le long de ma verge. Elle rigole de la situation, étant parvenue à ses fins, et elle me dit, tout en essuyant mon sexe, que je suis un vrai petit cochon du fait que j’en ai mis de partout. Ayant retrouvé un peu de ma lucidité, je me demande alors qui de nous deux était le vrai petit cochon. Pour ma part, il me semblait que la cochonne, c’était plutôt elle, car il fallait quand même être sacrément perverse pour élaborer une telle stratégie juste pour le plaisir de faire jouir un homme. Elle me dit ensuite que c’était tout pour aujourd’hui et que je peux donc me rhabiller et la rejoindre ensuite dans son bureau. En me rhabillant, ma lucidité revient petit à petit. Je commence à me rendre compte de ce qui vient de se passer. Je culpabilise petit à petit en pensant à ma compagne. Comment va-t-elle réagir si jamais elle est amenée à être au courant de ma galipette avec ma kiné ? Et si je ne lui disais rien et que je garde le secret ? Non, ce n’est pas mon style, j’ai toujours été sincère avec elle. Et en plus, ...