1. Juin 2342, l'érotisme du rêve à la réalité - I


    Datte: 14/05/2019, Catégories: fhh, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral double, fsodo, jouet, jeu, fantastiqu,

    (Texte non corrigé.) Debout sur le parvis du cinéma, les yeux clos, j’apprécie la brise chaude qui caresse délicieusement ma peau dénudée. Je reste sous l’emprise de la dernière création neuronale de mon rêveur préféré et je poursuis mon voyage, offerte aux regards, prête à tout, dans un état d’excitation hors du commun. Les effets de la projection s’estompent mais j’ai quitté la salle trop tôt, les images du songe de Zirfa continuent d’affluer. Je revois notre passé peu glorieux et heureusement révolu, lorsque notre civilisation était encore manipulée par des centres de pouvoir politique ou religieux qui nous asservissaient, mais au-delà de cela je ressens surtout et encore l’effet des scènes sexuelles plus que torrides. Zirfa a installé un décor historique propice à tous les débordements, pour ensuite nous entraîner dans les méandres de ses fantasmes. Enfermement progressif de nos ancêtres dans un système qui profitait à des castes dominantes, affichage des pires atrocités utilisées pour accroître pas à pas le pouvoir ou faire respecter l’ordre établi, massacres par milliers, exploitation de peuples entiers, notre détestable passé, jusqu’au 22ième siècle, offrait des situations idéales pour des scènes hautement pornographiques. Zirfa nous a délivrés crûment, avec une débauche de détails, la manière dont à une certaine époque de notre histoire de belles femmes désavouées étaient partagées par plusieurs hommes. Il nous plaçait au premier plan pour assister à leur soumission ...
    ... sexuelle, à des orgies où elles étaient traitées en objet de plaisirs, au service des invités. La seule chose qui nous rappellait qu’on était dans un rêve, était le plaisir intense de ces femmes. Même dans la scène de l’esclave livrée en pâture à des soldats, attachée dans un carcan pour que chaque orifice soit disponible, bien penchée en avant, assaillie de toutes parts, la soumise prenait du plaisir sous les assauts des soldats. De fil en aiguille nos ancêtres en étaient arrivés à accepter toutes règles, aussi aléatoires fussent-elles. Grâce à l’art, les écrits, qui permettaient de toucher en profondeur la sensibilité et de manipuler à grande échelle une population naïve, nos ancêtres étaient formatés, chaque individu était canalisé et les insoumis marginalisés. Pensez qu’à l’époque les relations sexuelles dans les lieux publics étaient interdites ! Que la monogamie était reine ! Que certaines religions interdisaient l’usage des moyens de contraception et instauraient l’idée d’une copulation uniquement liée à la procréation. Certaines femmes devaient même se camoufler de la tête au pied, et pouvait être lapidées pour adultère alors qu’elles avaient été mariées de force. Heureusement la présentation historique de Zirfa était secondaire. Quelques images pour rappeler l’absurdité de nos ancêtres devenus esclaves de leur système, travaillant pendant plusieurs siècles les deux tiers de leur temps avec un niveau technologique permettant bien plus de libertés pour le même confort. ...
«1234...11»