Libertins libérés (2)
Datte: 14/05/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... d’amour tandis que son pouce massait mes lèvres en petits cercles avant de s’introduire en moi. Oh ouiiiii !!!! quel plaisir, quelle extase !!! Son pouce s’enfonçait en moi en une puissante caresse, ses doigts branlaient frénétiquement mon clitoris, et je jouis encore et encore. Je n’étais que plaisir et jouissance ! Son pouce sorti d’entre mes lèvres pour continuer son chemin dans le sillon de mes fesses. Il fit des petits cercles autour de ma fleur plissée qui s’offrait déjà à lui, c’en était trop. Il enfonça son pouce dans mon anus et ses doigts dans ma chatte, je ne tenais plus. Je fis glisser ma main sous mon ventre et me branlais le clitoris. Et je jouis encore !!! Je tournais la tête pour voir Maxime, il me souriait. Il bandait fort et se caressait devant ce spectacle. Je décidais alors de me retourner, je ne pouvais pas rester ainsi, j’avais deux hommes en parfaite érection à portée de main, j’avais ce besoin pressant de les toucher, de les branler, les sucer. J’avais envie d’eux en moi. Mais alors que j’allais les empoigner, Antoine me mis les bras au dessus de la tête, en me maintenant les mains, je ne pouvais pas les toucher, j’étais délicieusement frustrée. Les deux hommes voulaient profiter de moi. Ils attrapèrent chacun un de mes seins du bout de lèvres et agacèrent mes tétons avec leur langues. Maxime qui me connaît bien mordillait mon sein gauche. Et comme si mon téton était directement relié à ma vulve, je senti un courant électrique descendre jusqu’entre mes ...
... jambes, je poussais un cri, inondant le lit de macyprine. Combien de temps allaient-ils me faire subir ce supplice ? Je n’en pouvais plus, j’en voulais toujours plus, je les voulais tous les deux en moi, j’avais envie d’animosité, de douce violence, de soumission. Je voulais être leur chienne, je les voulais dans tous les trous. Je n’étais qu’un corps emplis de désir sauvage. Antoine regarda Maxime, je compris qu’il lui demandait la permission d’aller plus loin. Quelle délicate attention de sa part. Il ouvrit un préservatif et le déroula le long de sa belle verge bien dure. J’étais à sa merci. Il descendit entre mes jambes, laissant aller sa langue sur mon ventre, descendit encore sur ma vulve, se délecta de mon nectar, remonta sur mon clitoris, et je jouis encore !!! Oh vite, je t’en prie, je ne tiens plus, remplis moi !!! Je le suppliais. Il remonta alors, collant son ventre sur le mien, et d’un mouvement brusque et précis s’enfonça en moi de tout son long. Rhâââââhhh !!!!! Et comme si j’avais peur qu’il se retire, je lui attrapais les fesses pour le maintenir en moi. Il commença de longs va-et-viens entre mes jambes, mon dieu que c’était bon !! Il attrapa et remonta ma cuisse gauche pour s’enfoncer plus loin encore. Il me pilonnait avec force et j’adorais ça. Ma main baladeuse attrapa alors la verge de mon bien aimé qui n’attendait que ça. En voyant ça, Antoine me bascula sur le coté jusqu’à me retrouver sur lui. Enfin je pouvais m’activer sur cette queue à mon rythme. Et ...