Le fabuleux destin de Benjamin (5)
Datte: 15/05/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... moulants et très échancrés et certains très transparents. Les sous-vêtements qu’elle avait acheté, l’auraient fait rougir il y a encore 24h, mais là, elle s’imaginait déjà exciter les hommes qui la verrait en les portant. D’ailleurs, elle se surprit à penser exciter plusieurs hommes en même temps, elle les imaginait la déshabillant et abusant de son corps par tous les orifices, elle se mit à se caresser en pensant à cette scène de débauche. Elle fut vite totalement nue sur son lit, avec des doigts au fond de sa chatte et au fond de son cul, mais il lui fallait plus gros et plus long, elle chercha autour d’elle ce qui pourrait la satisfaire. En bonne catholique, elle avait fait sa communion, et elle avait eu droit comme tous à son énorme cierge en cire, elle le vit poser dans un coin de la chambre, et elle eut une idée diabolique. Il était encore neuf, le bout encore bien arrondi. L’idée de Clara s’imposait dans sa tête, elle se leva de son lit, et approcha du cierge complètement nue. Elle le prit en main, et ayant abandonnée toute idée de morale religieuse, elle se mit à se caresser les seins avec, elle le passait sur ses tétons durcis d’excitation. Elle se mit à gémir doucement de plaisir. Puis elle le descendit sur son ventre, elle écarta les cuisses et le fit glisser entre, elle le frottait contre son clito, elle gémissait de plus en plus fort. Le cierge était très long et un peu moins large que la queue de Benji, mais elle posa la base sur le sol, et le bout lui ...
... arrivait juste en dessous de sa chatte. Elle n’avait qu’à plier les jambes pour se l’enfoncer à l’intérieur. Toute morale chrétienne ayant disparue, elle plia les jambes et sentit le bout du cierge s’enfoncer dans sa chatte en feu. Elle plia d’avantage les jambes pour se l’enfoncer plus profondément en elle, elle ressentit un bien être extraordinaire. Elle avait réussi à s’enfoncer le cierge jusqu’à la moitié, quand elle s’arrêta, elle était comblée, mais sa posture était grotesque, les jambes à moitié pliées avec un cierge à moitié enfoncé dans la chatte, c’était presque comique. Mais elle s’en moquait, il fallait qu’elle sente sa chatte bien remplie. Elle trouvait le cierge un peu froid, et il manquait de vie, mais ça lui suffirait pour calmer ses pulsions en attendant que Benji la baise de nouveau. Elle retourna sur le lit avec le cierge dans sa chatte, les quelques pas qui la séparait du lit lui provoquèrent des décharges de jouissance. Elle s’allongea sur son lit, les jambes grandes ouvertes et commença à faire coulisser le cierge de sa communion au fond de sa chatte. Elle se mit à gémir de plaisir, elle se caressait les seins et se pinçait les tétons, elle jouissait, pas autant qu’avec une vraie bonne grosse bite, mais ça calmait un peu ses pulsions sexuelles. Mais il lui manquait quelque chose, ce cierge au fond de sa chatte, lui procurait du plaisir, mais ce n’était pas une bite, il n’était pas chaud, pas vivant, il ne vibrait pas dans son ventre. Ce manque finit par la ...